dimanche 27 février 2011

Le Mythe de la Soucoupe


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Le Mythe Des Geants


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Le Mythe du déluge



L incroyable histoire de l’Atlantide et des Nascas


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L INCROYABLE HISTOIRE DE L ATLANTIDE ET DES NASCAS 3/3
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samedi 26 février 2011

La tombe d'Ève, entre légende et mythe


Djeddah, Arabie Saoudite) À Djeddah, la «tombe d'Ève», du nom attribué par la Bible à la première femme, attire une foule de pèlerins, même s'il n'existe aucune preuve scientifique permettant d'authentifier comme telle cette sépulture présumée située dans la deuxième ville d'Arabie Saoudite.

Comme des centaines de milliers de musulmans qui visitent l'Arabie Saoudite à l'occasion du pèlerinage de La Mecque, les Iraniens connaissent la légende: Ève serait enterrée là, en témoignent les inscriptions qui encadrent l'entrée du cimetière. «On nous a dit que la tombe d'Ève s'y trouvait, explique Minou Ghadimkhani, touriste iranien de 45 ans. C'est la raison pour laquelle nous voulons y entrer.»

Car même sans preuves archéologiques de l'authenticité de la tombe, la légende persiste. Pour certains, le nom même de Djeddah, mot arabe signifiant grand-mère, fait référence à Ève. Et si personne ne connaît réellement l'origine de l'histoire, beaucoup dans cette ville portuaire de la mer Rouge écartent toute idée de mythe.

«C'est une légende, mais elle figure dans les manuels scolaires», souligne Sami Nawar, directeur général local pour la culture et le tourisme. Nawar, spécialiste de l'histoire de Djeddah, aime glisser des bribes de la légende dans sa présentation de la cité à des dignitaires ou des journalistes étrangers. «Djeddah est la ville la plus féminine du monde, du fait de la présence de la tombe d'Ève», clame-t-il.

Le Coran parle de l'expulsion d'Adam et Ève du paradis terrestre, après qu'ils eurent mangé le fruit de l'arbre défendu. Mais il ne dit pas à quel endroit de la Terre le couple est apparu.

La tradition arabe place Adam dans la ville sainte de La Mecque, à 70 km à l'est de Djeddah, là où Dieu lui a ordonné de construire la Kaaba, cette structure sacrée vers laquelle les musulmans du monde se tournent cinq fois par jour lorsqu'ils prient.

Puis Dieu a dit à Adam de monter sur une colline de La Mecque dans le but de se repentir de ses péchés. C'est après qu'il l'a fait que Dieu lui a envoyé Ève, et que la colline a pris le nom de mont Arafat, du mot arabe signifiant savoir, ajoute-t-il. Cette histoire situe Ève, Haoua en arabe, dans les environs de Djeddah, le point d'accès à La Mecque pour les pèlerins. Elle pourrait expliquer l'origine de la légende qui entoure l'enterrement de la «mère du genre humain».

Des historiens arabes et occidentaux, tout comme des voyageurs, décrivent une tombe hors des murs de la vieille ville de Djeddah comme étant la sépulture d'Ève.

L'historien Hatoune al-Fassi avance que son confrère du IXe siècle, Al-Fakihi, originaire de La Mecque, racontait que deux amis du prophète Mahomet mort en 623 avaient déjà parlé de la tombe d'Ève.

Autre indice troublant, Ibn Joubayr, voyageur et poète du XIIe siècle, né à Valence, écrivait à propos de Djeddah dans son carnet de voyage: «À l'intérieur existe un lieu qui possède une coupole, qui aurait été la maison d'Ève, la mère de l'humanité; que Dieu la bénisse sur la route de La Mecque».

La tombe présumée n'existe plus et on ignore comment elle aurait disparu. Ceux qui ont pu entrer dans le cimetière affirment qu'à sa place se trouve à présent une rangée de tombes anonymes, et que rien n'indique que la sépulture biblique ait eu cet emplacement-là. Il est vrai que le wahhabisme, branche radicale de l'islam, interdit notamment l'inscription des noms sur les tombes.

Pour William Dever, professeur émérite à l'Université d'Arizona et éminent archéologue américain, il n'existe simplement aucun élément archéologique qui permette de confirmer l'existence réelle de cette tombe.

«Le problème est que ce ne sont que des légendes, des mythes que nous n'arrivons pas à dater», note ce spécialiste de l'histoire du Proche-Orient aux temps bibliques. «Je pense que cette histoire pourrait remonter à 2000 ou 3000 ans, mais nous ne disposons d'aucune preuve archéologique.»
Donna Abou-nasr

Le tombeau d’Ève



A Jeddah en Arabie Saoudite, il est dit que c’est là que se trouve le tombeau d’Eve la mère de l’humanité, mais les autorités intransigeantes de ce royaume autocratique et théocratique, l’ont bétonné en 1975 pour empêcher  qu’il devienne  un lieu saint ou de pèlerinage pour les musulmans, ils ont mis fin aux prières rendues  par la descendance à la matriarche.

vendredi 25 février 2011

OGM: l’étude russe qui pourrait «déraciner» une industrie

par Sebastien Portal

En 2009, près de 3% des terres agricoles étaient couvertes d'OGM avec 134 millions d'hectares, selon l'ISAAA qui chaque année fait état des cultures des plantes transgéniques dans le monde. Et le dossier des OGM alimentaires - dont de très nombreuses pages restent encore floues à ce jour - pourrait bien s'alourdir prochainement alors qu'une nouvelle pièce en provenance de Russie est sur le point d'y être ajoutée. 

Celle-ci prend la forme d'une étude, dont les résultats les plus frappants viennent d'être présentés à la presse en Russie dans le cadre de l'ouverture dans ce pays des Journées de Défense contre les Risques Environnementaux. Elle est même évoquée par Jeffrey Smith, fondateur de l'Institute for Responsible Technology aux Etats-Unis et auteur de référence dans le monde des OGM avec notamment son ouvrage Seeds of Deception (littéralement « les semences de la tromperie ») publié en 2003. Menée conjointement par l'Association Nationale pour la Sécurité Génétique et l'Institut de l'Ecologie et de l'Evolution, cette étude russe a duré deux ans avec pour cobaye des hamsters de race Campbell, une race qui possède un taux de reproduction élevé. Ainsi, le Dr Alexey Surov et son équipe ont nourri pendant deux ans et d'une manière classique les petits mammifères, à l'exception près que certains d'entre eux ont été plus ou moins nourris avec du soja OGM (importé régulièrement 
en Europe) tolérant à un herbicide.

Campbell_hamster_blue_fawn.jpg

Au départ, quatre groupes de cinq paires (mâles / femelles) ont été constitués : le premier a été nourri avec des aliments qui ne contenaient pas de soja, le second a quant à lui suivi un régime alimentaire qui comportait du soja conventionnel, le troisième a été alimenté avec en complément du soja OGM et enfin le quatrième groupe a eu des plateaux repas dans lesquels la part de soja transgénique était encore plus élevée que dans ceux du troisième. A la fin de cette première phase, l'ensemble des quatre groupes a eu en tout 140 petits. L'étude s'est poursuivie dans une deuxième phase par la sélection de nouvelles paires issues de chacun de ces premiers groupes. Et dans la logique du déroulement, les nouvelles paires de la deuxième génération ont elles aussi eux des petits, créant de fait la troisième et dernière génération de cobayes. Ainsi, il y a eu au final 52 naissances parmi les spécimens de troisième génération qui n'ont pas consommé du tout de soja, 78 parmi ceux qui ont consommé du soja conventionnel. Mais le troisième groupe, celui qui a été nourri avec du soja OGM, n'a eu que 40 petits, dont 25% sont morts. Et pire, dans le groupe qui a mangé le plus de soja génétiquement modifié, une seule femelle a réussi à donner naissance, soit 16 petits au total dont 20% sont finalement morts. Ainsi, à la troisième génération, les hamsters qui, pour les besoins de l'étude ont eu dans leur menu une part importante de soja OGM, n'étaient plus capables de se reproduire... Mais une autre surprise de taille a été observée : certains de ces hamsters issus de la troisième génération se sont retrouvés avec des poils... dans la bouche, un phénomène d'une extrême rareté.
Voici les photos publiées par Jeffrey Smith dans son billet.

Quelles conclusions peut-on tirer de cette expérience ? A ce stade, aucune, comme le reconnaissent eux-mêmes les scientifiques qui ont fait ces observations. D'ailleurs, leur étude qui doit être rendue public dans ses détails en juillet prochain, ne pourra être reconnue comme valide uniquement dans la mesure où elle sera publiée dans une revue scientifique internationale avec un comité de relecture par des pairs. Cependant, même si cette récente étude ne permet pas de tirer de conclusions définitives, elle pourrait avoir un impact non-négligeable dans l'approche globale des OGM agricoles qui sont aujourd'hui consommés dans le monde par des millions d'animaux d'élevage et d'être humains depuis leur avènement en 1996. Car en effet, pouvoir effectuer une étude d'une durée aussi longue (deux ans) est tout à fait rare tant les semenciers qui en font la promotion veillent au grain, de peur que l'étude en question ne soit pas en leur faveur : « Des scientifiques qui découvrent que des OGM provoquent des effets inattendus sont régulièrement attaqués, tournés en ridicule, voient leurs crédits de recherches stoppés, et sont mêmes renvoyés », explique Jeffrey Smith dans sonbillet repris notamment par The Huffington Post et qui évoque l'étude du Dr Surov et de son équipe en Russie. Et pouvoir effectuer des tests pendant deux ans est d'importance capitale selon les associations écologistes. Celles-ci estiment que deux ans représentent une durée suffisante pour mesurer les effets chroniques d'un produit ou d'une molécule, et donc d'un pesticide. Or, jusqu'à présent, les plantes OGM qui sont consommés dans le monde sont dans une très large majorité des plantes qui accumulent dans leurs cellules un ou plusieurs pesticides (soit par absorption extérieure soit par une production permanente). De plus, les études de plus de trois mois sur des mammifères (généralement des rats) nourris à ces OGM-pesticides (de première génération) sont toutes aussi rares. C'est pourquoi des « lanceurs d'alerte » (l'équivalent français du terme « whistle blowers », littéralement ceux qui soufflent dans le sifflet) dénoncent régulièrement cette situation et demandent à ce que les OGM agricoles soient évalués comme des pesticides à part entière. Autre grand problème : les organismes d'évaluation se basent toujours sur des études faites par ou pour les semenciers et ne possèdent pas de moyens financiers suffisants pour effectuer eux-mêmes des expertises ou contre-expertises. A ce jour, les évaluations d'OGM conduites et financées grâce à des fonds publics se comptent sur les doigts d'une seule main.
Selon Jeffrey Smith, l'étude du Dr Surov et de son équipe pourrait bien « déraciner » une industrie qui vaut plusieurs milliards de dollars. L'affaire est donc à suivre, mais quoi qu'il en soit, depuis l'introduction en 1996 dans l'environnement et dans la chaîne alimentaire de produits agricoles transgéniques (issus de semences dans lesquelles y sont ajoutées un ou plusieurs gênes étrangers afin de conférer à la plante une propriété spécifique), les risques qui y sont liés restent encore très largement inconnus car très peu observés faute d'études suffisamment longues et indépendantes, mais aussi à cause du refus des semenciers de publier leurs propres études (sauf sous la contrainte juridique) pour des raisons de stratégies industrielles et commerciales. Aussi surprenant que cela puisse paraître, le principe de précaution dans ce domaine semble effectivement illusoire alors que les incertitudes scientifiques qui demeurent devraient justement le mettre au cœur du processus d'évaluation. Et d'ailleurs, on peut même supposer que cette absence de précaution large et de manque de transparence vis-à-vis du public nuisent par la même occasion aux OGM agricoles expérimentaux (de seconde génération) qui ne peuvent pas être évalués dans les meilleures conditions puisque ceux qui sont actuellement sur le marché ne l'ont été que partiellement (le proverbe de la « charrue avant les boeufs»...). Car l'ennui au fond c'est que nous tous, les consommateurs, sommes au bout de cette chaîne alimentaire: alors finalement dans l'histoire, qui sont réellement les cobayes?

Retrouvez la version audio de ce billet au lien suivant (faire copier/coller):

L'énigme du Sphinx


L'énigme du Sphinx 1ère partie
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mardi 22 février 2011

Une centaine de baleines mortes échouées sur une plage en Nouvelle Zelande


Plus d'une centaine de baleines pilotes sont mortes échouées sur une plage isolée près de l'île sud de Nouvelle-Zélande, a indiqué lundi un responsable du ministère de la Protection de l'environnement.

Des promeneurs ont découvert dimanche 107 baleines échouées sur une plage de Stewart Island, située au sud de l'île du sud de Nouvelle-Zélande, a précisé un porte-parole du ministère.
Plusieurs des cétacés étaient morts et 48 ont dû être euthanasiés en raison de l'impossibilité de les remettre à la mer, a-t-il ajouté.
"Nous avons vite compris qu'il faudrait au moins de 10 à 12 heures avant de pouvoir essayer de les remettre à la mer, mais qu'à cause du soleil et de la chaleur, beaucoup mourraient avant", a déclaré le porte-parole.
Une remise à l'eau faisait en outre courir des risques aux sauveteurs, en raison de l'approche d'un orage.
Les baleines pilotes, appelées aussi globicéphales, peuvent atteindre 20 mètres de long et sont les baleines les plus fréquentes dans les eaux néo-zélandaises.
Les échouages de baleines pilotes sont fréquents en Nouvelle-Zélande. En septembre dernier, un groupe de quatre-vingts baleines pilotes s'était échoué sur une plage du pays. Début février, 80 cétacés avaient été retrouvés là encore échoués.
Les scientifiques expliquent difficilement les raisons qui les conduisent à s'échouer sur les plages. Le fait que leur sonar se brouille en eau peu profonde ou que tout le groupe suive un des membres du groupe qui est malade et rejoint la côte figurent parmi les hypothèses évoquées.

mercredi 16 février 2011

La fin du monde est-elle vraiment prévue pour 2012 ?

CATASTROPHE - Une scientifique s'attaque à la question...

La fin en 2012? Un frisson traverse la salle - comble - de la Royal Society de Londres, quand l'astrophysicienne Jocelyn Bell Burnell jette la question en pâture. La scientifique, célèbre pour avoir détecté la première le signal d'un pulsar en 1967, s'est attaquée au sujet parce qu'à la fin de chacune de ses conférences, quelqu'un disait: «Tout cela est très bien, mais que pensez-vous de la fin du monde en 2012?»

Prophétie des Mayas

Le scénario catastrophe tire son origine du calendrier maya. Les Mayas, qui croyaient que les dieux faisaient et défaisaient régulièrement le monde, pensaient vivre dans un «compte long» commencé le 11 août 3114 avant Jésus-Christ, et devant s'achever le 21 décembre 2012. Là où ils pensaient probablement que s'ensuivrait un nouveau «compte long», de nombreux faux-prophètes se sont emparés de la date pour prédire la fin du monde, sous l'effet de causes diverses: chute d'une météorite, alignement des planètes, effet du champ magnétique solaire...
Toutes théories qui mordent d'autant plus sur l'opinion qu'elles sont construites à partir de pseudos éléments scientifiques, constate Burnell. La question posée sur Google fait apparaître quelque 56 millions de références, et certains croient même savoir que la fin du monde est pour 11h11 précisément. Qu'en est-il? Le solstice d'hiver intervient bien à 11h12 le 21 décembre, mais sans provoquer à ce jour de catastrophe majeure.
Certains évoquent un renversement du champ magnétique solaire. Ce phénomène existe bien, il se déroule même tous les onzeans à peu près, avec un pic d'activité variable et des tempêtes solaires plus ou moins importantes. Mais le cycle en cours est marqué par une activité faible, et «le soleil est devenu plutôt calme», observe la scientifique.
Et la Terre? Certains prédisent qu'elle va également changer son champ magnétique et... tourner dans l'autre sens. De fait, un changement du champ magnétique terrestre est intervenu deux fois depuis la présence de l'Homme sur Terre, la dernière fois il y a 750.000 ans. Mais la Terre tourne toujours dans le même sens, «et nous sommes toujours là», lance la scientifique.

L'hypothèse des météorites

L'alignement des planètes pourrait secouer la Terre au point d'entraîner la fin du monde, avancent certains. Sauf que le prochain alignement n'a lieu qu'en 2040, et que les planètes n'entrent que pour une part infime dans l'attraction terrestre. Le dernier alignement (Jupiter, Venus, Lune, Terre) en 2008 est passé inaperçu.
Restent les météorites, qui peuvent causer de gros dégats. L'impact d'une météorite de 10 km de diamètre il y a 65 millions d'années au Mexique(Chixculub) serait responsable de la disparition des dinosaures. Mais les téléscopes géants sont aujourd'hui capables de détecter les gros météorites et de calculer le risque de collision, affirme l'astrophysicienne. Les technologies pour les dévier de leur trajectoire existent aussi, comme l'envoi d'une fusée à un point d'impact.
Le plus fantaisiste est peut-être l'hypothèse que nous tombions dans le trou noir au centre de notre galaxie. Sauf que la Terre se situe à 26.000 années lumières du trou, ce qui rend tout à fait impossible d'y être pour le 21 décembre 2012, sans même parler de la gravité et de l'orbite terrestre, qui nous tiennent à bonne distance.
In fine, ce type de prophétie n'a pas de base scientifique, et se nourrit seulement de la crédulité du public, constate la physicienne. «Pas de doute, vous devrez acheter des cadeaux de Noël pour 2012», lance-t-elle, hilare. Jocelyn Bell Burnell a remporté un des principaux prix de la Royal Academy, le prix Michael Faraday de la communication scientifique.

L'endroit le plus dangereux du monde est le SUPERMARCHE

mardi 8 février 2011

200 vaches mortes dans le Wisconsin, le dernier épisode dans le feuilleton des décès de masse d’animaux


Plus de nouvelles inquiétantes d’un grand nombre d’animaux trouvés morts nous viennent du Wisconsin, après qu’un agriculteur a déclaré qu’il avait trouvé plus de 200 vaches mortes dans un de ses pâturages la semaine dernière. 
La police du comté de Portage est arrivée à la ferme pâturage de Stockton vendredi dernier, après que le propriétaire a signalé la découverte de son troupeau de vaches mortes, selon le Wausau Daily Herald. 
Le résident de Cincinnati Bob M a déclaré: « Il y a eu quelques événements vraiment étranges récemment avec tous ces animaux mourant en grande quantité. Cela commence à faire un peu peur. J’ai eu quelques conversations avec d’autres et il y a pas mal de gens qui craignent qu’il s’agisse d’actes de terrorisme.  » 



Le propriétaire de la ferme a déclaré au journal qu’il croyait que les 200 vaches mortes étaient décédées à cause d’un virus tel que la rhinotrachéite bovine ou la diarrhée virale bovine. L’homme a également déclaré qu’il travaille actuellement avec un vétérinaire local pour déterminer la cause de la mort qui a décimé le cheptel . 
Les 200 vaches mortes ont été transportées depuis la ferme par des semi remorques, et il n’a pas encore été trouvé de raison pour mettre en quarantaine le reste de la ferme du comté de Portage, les autorités locales faisant valoir que jusqu’à présent, il semble n’y avoir aucune menace pour les humains ou d’autres animaux. 
Cet incident fait suite à de nombreux rapports dans le monde de morts en masse soudaines d’animaux, tels que les milliers de merles et poissons qui seraient morts subitement au début du mois dans l’Arkansas. 
Croyez-vous que quelque chose pourrait expliquer le grand nombre d’animaux mourant soudainement, pourrait-il s’agir de terrorisme, ou de tests gouvernementaux? 

Source: examiner.com 


Lundi 7 Février 2011


dimanche 6 février 2011

Les aliens sont déjà parmi nous, pour des scientifiques chinois

04.02.11 - 11:41
En Chine, la passion pour les "objets volants non identifiés" (OVNIs) et les recherches extra-terrestres n'est pas l'apanage d'une petite poignée de doux rêveurs. Contrairement à la tendance occidentale de nier ces phénomènes, l'ufologie chinoise fait l'objet de toutes les attentions.
Ce ne sont pas à proprement parler des hurluberlus : le premier, Sun Shili, est un ancien officiel du ministère des Affaires étrangères chinois, actuellement président de la très sérieuse Société de recherche sur les OVNIs de Pékin. Le second, Shen Shituan, est le président de l'université aérospatiale de Pékin, spécialiste des fusées. Tous les deux sont persuadés, sur base des travaux du premier, que les aliens se sont déjà mêlés à la population terrestre.
Shen Shituan explique d'ailleurs que tous les cas rapportés de rencontres avec des extra-terrestres font l'objet de très sérieuses investigations : "Certaines observations sont réelles. D'autres sont clairement fausses, et pour d'autres encore ce n'est pas clair", assène-t-il.
Des recherches sans dogme ni tabou
Sun Shili pense, lui, avoir fait l'expérience d'un "contact rapproché" avec des aliens lors de la révolution culturelle, alors que, comme de nombreux intellectuels, il faisait l'ineffable expérience des travaux agricoles forcés. Ce qu'il avait un jour observé tandis qu'il se trouvait au labeur lui était d'abord apparu comme la manifestation d'un engin secret lié à la guerre froide. Plus tard, ses recherches lui ont fait prendre conscience qu'il s'était sans doute trouvé face à un OVNI.
Absurde ? Avec des yeux d'occidentaux : sans doute. Mais dans les pays de tradition bouddhiste, peu habitués aux dogmes intellectuels et religieux, la question des extraterrestres est prise très au sérieux et fait l'objet d'investigations on ne peut plus officielles, avec l'aval et le soutien financier des autorités. Ainsi, la Société nationale pour les études extra-terrestres, fondée il y a 25 ans, réserve-t-elle la qualité de membre à des scientifiques et des ingénieurs disposant d'une expertise avérée.
Et les observation de phénomènes extra-terrestres ne cessent de se multiplier. Officiellement, les sociétés de chasse aux OVNIs compteraient 50 000 passionnés, mais il sont sans doute beaucoup plus nombreux à guetter les signes d'une rencontre du troisième type. Et une dizaine de rapports officiels faisant état d'objets volants non identifiés ont été établis depuis juin 2010.
"Ils" sont déjà là
Pour Sun Shili, c'est très clair : les aliens sont déjà parmi nous. Diable ! Ce pourrait donc être ce voisin légèrement inquiétant qui nous observe avec un air hésitant entre l'intérêt et la concupiscence ? Ou cette jeune femme à l'apparence anodine mais qui provoque de drôles de sensations lorsqu'on s'en approche un peu trop près...?  Le scientifique chinois croit pour sa part que ces aliens sont descendus parmi nous pour nous transmettre des informations, même pendant notre sommeil. Sa théorie postule que, comme 80% des nouvelles inventions proviennent des rêves de leurs inventeurs, c'est peut-être par le moyen du rêve que les aliens nous communiquent leurs connaissances. Et, précise-t-il, "s'ils nous les donnaient d'un seul coup, nous ne serions pas capables de le gérer".
Sun Shili est tellement persuadé du bien fondé de sa théorie qu'il est déjà prêt à rencontrer ses futurs amis venus de l'espace. Il fait d'ailleurs partie de la délégation internationale de 21 personnes qui s'est chargée de créer le premier contact en cas de visite impromptue.
Navigation interstellaire contrariée
Et, tenez, justement : en janvier 2010, le monde de l'ufologie plus ou moins officielle s'attendait à des révélations cruciales de l'administration Obama à propos de contacts extra-terrestres. Selon de nombreux "spécialistes", Barack Obama, tout juste auréolé du prix Nobel de la paix, aurait alors acquis la légitimité pour annoncer ce que beaucoup -bien sûr- savaient déjà. Il faut bien constater que "l'annonce imminente" se fait encore attendre. Peut-être les aliens se sont-ils perdus en chemin, ce qui prouverait qu'à tout le moins ils n'ont pas encore inventé le GPS. Et ça, finalement, c'est plutôt bon pour l'orgueil des humains.
Thomas Nagant avec Slate.fr