mercredi 29 février 2012

Découverte de la crevette du désert !


IRIB-Des biologistes américains viennent de mettre la main sur une nouvelle espèce d’anostracé dans le lit d’un lac du désert de l’Idaho.

Cette sorte de grosse crevette sans carapace vit dans les eaux douces et saumâtres, mesure en moyenne 8 cm de long, et se révèle être un redoutable prédateur ; son abdomen est en effet recouvert de petites pointes qui lui permettent « d’embrocher » de petites proies, puis de les stocker en cas de pénurie alimentaire, car le lac est régulièrement asséché. Les chercheurs devraient dans les jours qui viennent publier sa description et son nom officiel en latin dans les revues scientifiques. En attendant, bienvenue à la crevette du désert !

L'homme-oiseau de Santa-fé


IRIB-Un mystérieux personnage sème depuis mars dernier la panique à Santa-Fé (Argentine), où de nombreuses observations ont fait état d’une créature qui sautait de toit en toit, en franchissant les rues d'un seul bond.

L’homme, mi-oiseau, mi-araignée, mesurerait deux mètres, aurait les yeux rouges, les ongles longs, et hurlerait comme une bête. "Une psychose générale est née", confirme le commissaire principal Gabriel Legstra, interrogé par l'agence de presse DyN. "Tout a commencé par une série d'appels où l'on signalait une personne vêtue de noir qui faisait des sauts de 5 mètres de long et jusqu'à 10 mètres de haut, sans prendre son élan", a expliqué le responsable de la police locale. Des habitants de la ville assurent par ailleurs l'avoir vu s’évaporer sous leurs yeux. Les autorités recommandent aux habitants de garder leur calme, après que quelques exaltés eurent tenté de supprimer purement et simplement le perturbateur à coup de fusil… Mais, selon des témoins, les balles sont sans effet sur la créature. Un habitant du quartier de El Arenal a affirmé lui avoir tiré dessus 17 fois, sans le moindre effet ! Affaire à suivre…

Déserts vitrifiés et autres traces de guerres nucléaires antédiluviennes


Parmi ces indices, il en est un qui relève d’une technologie préhistorique de pointe qui aurait détruit son propre berceau culturel :


1-les traces à jamais silencieuses, mais révélatrices, de guerres nucléaires.

2-De larges zones de verre coulé de couleur verte et des cité vitrifiées sont apparues dans les fouilles archéologiques :

à Pierrelatte du Gabon ;

dans la vallée de l’Euphrate ;

dans les déserts du Sahara, de Gobi, de Mojave ;

dans l’Ancien et le Nouvel Empire d’Egypte ;

au centre-sud de la Turquie.

3-A notre époque, des matériaux de cette nature ne sont connus que sur des sites d’essais nucléaires où le sable a été vitrifié par la chaleur.

4-L’éventualité de guerres nucléaires préhistoriques est un constat très dérangeant pour certains. Mais d’autre part, des scientifiques ont trouvé des gisements d’uranium qui semblent avoir été minés et exploités dans l’Antiquité.

5-S’il se confirme qu’en des temps reculés des civilisations ont connu l’anéantissement atomique, peut-être y a-t-il urgence à ce que nous comprenions vraiment qui nous sommes avant que nos comportements ne nous fassent revivre les leçons des mondes anciens.

6-Des chaînes câblées telles que History Channel, Discovery ou National Geographic ont apporté les « preuves » que le « verre coulé vert » découvert en divers lieux était dû au passage de météorites. Je veux bien croire que certaines zones ont été vitrifiées par le souffle chaud de météorites, mais je ne pense pas que l’on puisse attribuer à ce phénomène naturel les quelques vingt-huit étendues de roches pulvérisées et noircies qui couvrent chacune des surfaces de l’ordre de 18.000 km2 en Arabie occidentale.

7-Ces pierres aux bords tranchants sont rassemblées comme les vestiges de cités. Les experts ont établi qu’elles n’étaient pas d’origine volcanique, mais semblaient dater d’une époque où l’Arabie était un pays fertile et luxuriant avant d’être soudainement calciné à l’état de désert. Des déserts vitrifiés Nous savons aujourd’hui que le Sahara a été une zone tropicale à la végétation abondante, très pluvieuse et sillonnée de grandes rivières.

8-Les scientifiques ont découvert des zones où des terres jadis cultivées sont aujourd’hui couvertes d’une fine couche de sable. Des chercheurs ont aussi trouvé une énorme réserve d’eau sous le désert. Celle-ci ne peut-être que le résultat de pluies abondantes ayant précédé la dévastation par le feu. Le 25 décembre 2007, un scientifique français effectuant des fouilles dans la région de Khamis Bani Sa’ad dans le district de Tehema, province de Hodeidah, au Yémen, confirma que des pièces archéologiques trouvées sur place dataient de 300.000 ans av. J.-C. Avant la survenue d’un changement radical de climat, les habitants étaient des pêcheurs et avaient domestiqué certains animaux actuellement disparus de cette région dont une espèce de cheval que l’on ne trouve plus qu’en Asie Centrale.

9-La Chine maoïste a effectué près du lac de Lob Nor, dans le désert de Gobi, des essais nucléaires qui ont laissé de grandes plaques de sable vitrifié. Mais il y a aussi dans ce désert un certain nombre de traces similaires vieilles de milliers d’années.

10-En mission avec une équipe en Afrique centrale, Albion W. Hart, un des premiers ingénieurs diplômés du Massachusetts Institute of Technology, cherchant à atteindre une région quasi inaccessible, dut traverser une grande étendue désertique. Stupéfait, il découvrit une vaste zone vitrifiée verte qui couvrait le sable à perte de vue et qu’il fut incapable d’expliquer. Or, dans Rocks and Minerals, Margarethe Casson écrit :

11-« Plus tard dans sa vie, Hart traversa la région de White Sands, côté Nevada, après les premières explosions atomiques et reconnut le même type de fusion de silice que ce qu’il avait vu en Afrique cinquante ans plus tôt ». En 1947, des fouilles effectuées dans la vallée de l’Euphrate, au sud de l’Irak – lieu où certaines traditions situent le jardin d’Eden et où les anciens habitants de Sumer rencontrèrent l’homme-dieu Ea – mirent au jour une couche de verre vitrifié de couleur verte. Les archéologues ne purent que relever la ressemblance de cette matière, vieille de plusieurs milliers d’années, avec celle gisant sur le sol désertique de White Sands, au Nouveau-Mexique, après les premiers essais nucléaires des temps modernes.

12-Enfin, signalons de grandes surfaces circulaires ou polygonales de matière dure ressemblant à du verre opaque dans le désert de Mojave, en Californie. Les traces profondes d’un feu intense En 1850, William Walker explorant la Death Valley déclara y avoir trouvé une cité en ruine. Parmi les débris, les pierres de l’extrémité d’un grand édifice avaient été fondues et vitrifiées. Walker ajouta que la région entière entre la rivière Gila et St John était parsemée de vestiges montrant des traces d’échauffement si intense que la pierre en avait fondu. Des dallages et des maisons de pierre portaient de larges fissures témoignant d’un éclatement par le feu.

13-Les cités et les forteresses vitrifiées découvertes par Walker m’intriguent encore plus que les surfaces de verre coulé verdâtres. Les maçonneries de certains forts et tours sur des collines d’Ecosse, d’Irlande et d’Angleterre ont été calcinées par des températures infiniment plus élevées que celle de la foudre. D’autres forteresses perchées, depuis les îles de Lofoten, au large de la Norvège, jusqu’aux Canaries, au large de l’Afrique, sont devenue des « fortins fondus » ; selon les termes d’Erich A. von Fange, « les blocs empilés de leurs murs circulaires ont été transformés en verre… par une intense chaleur ». On croyait que Catal Hüyük était l’une des plus anciennes cités du monde, mais des vestiges archéologiques révèlent qu’après un développement civilisé, elle s’est brusquement éteinte.

14-Les archéologues ont découvert avec surprise d’épaisses couches de briques calcinées. Les éléments de construction avaient été coulés l’un sur l’autre par une chaleur qui avait pénétré à plus d’un mètre sous le sol et carbonisé la terre, les ossements de personnes inhumées et les offrandes enterrées avec elles ; la décomposition bactérienne en avait été interrompue. On a mis au jour un grand ziggourat babylonien fendu jusqu’aux fondations comme s’il avait subi un feu très intense. Dans d’autres parties des ruines, des pans de maçonnerie étaient vitrifiés et partiellement réduits en masses fondues, ainsi que certains blocs isolés à proximité des ruines.

15-Sur un site connu sous le nom de Alalakh ou Atchana, au nord de la Syrie, des bâtiments royaux étaient brûlés au point que le cœur de murs épais était rempli de briques de terre rouge vif désagrégées. Les enduits de boue et de chaux étaient vitrifiés et en certains endroits des dalles murales de basalte avaient fondu. On a également découvert en Inde cette fois, entre les monts Rajmahal et le Gange, des masses de pierres fondues et fendues.

16-Des voyageurs qui s’étaient aventurés au cœur des forêts indiennes ont trouvés les ruines de cités dont les murs, sous l’effet de la chaleur, étaient devenus d’immenses dalles de cristal. Les ruines des Sept Cités, dans la province de Piaui, près de l’équateur, au Brésil, offrent un spectacle d’un monstrueux chaos. Aucune explication géologique n’a encore été proposée par les archéologues dont certains, au vu des pierres calcinées, détruites et fondues, ont évoqué Sodome et Gomorrhe. A Pierrelatte du Gabon, des chercheurs du CEA (commissariat à l’énergie atomique) ont trouvé en 1972 les traces d’une réaction nucléaire spontanée dans la carrière d’uranium d’Oklo. Les scientifiques se sont aperçus que le minerai contenait une proportion anormalement basse d’U235, tel celui que l’on trouve dans le carburant d’uranium appauvri issu de réacteurs atomiques. Le minerai contenait aussi quatre éléments rares typiques de l’uranium appauvri. (Le 25 septembre 1972, l’administrateur de CEA, André Giraud, annonce qu’un réacteur nucléaire vieux de deux milliards d’années a été découvert sur le site de la mine d’uranium D’Oklo)

En résumé, alors que le monde moderne n’a pas connu la puissance de l’atome avant les années 40, une étonnante quantité d’indices témoignent d’effets nucléaires remontant à la préhistoire :

sables de déserts parsemés de verre, murs de pierres vitrifiés de certains forts, antiques cités détruites apparemment par une chaleur intense, tout cela bien hors de portée des moyens et des feux d’armées primitives.

Brad Steiger – traduction : André Dufour



Megalithic-project

OM le Mantra des mantras


La Syllabe Sacrée " OM", ou "AUM" symbolise le Son primordial, le Verbe éternel créateur. Source du commencement des temps," OM" contient tout ce qui a été, est, et sera. Il est l’essence de l'univers entier. C'est le Mantra le plus précieux qui soit, le Mantra des mantras.

Le pouvoir de la Syllabe Sacrée


Psalmodié par les plus grands sages de l’Inde et du Tibet, Pranava OM est souvent comparé à la flèche dont la pointe est la pensée traversant les ténèbres de l’ignorance pour atteindre la lumière de l’état suprême. Celui qui connaît OM est le sage véritable. Mais qu’est-ce que la sagesse sinon la capacité de connaître ce qui est au delà des apparences. OM est connu comme le pranava (son du bourdonnement) ou udgita (le chant qui élève). Sa pratique consiste à vivre la vibration fondamentale de l’univers expression de conscience et Conscience elle même. OM est la source de l’existence manifestée. Par le chant approprié de OM apparaissent les manifestations de la conscience profonde, l’infini complexité du processus de création se dévoile et le principe divin se révèle progressivement selon le niveau d’éveil de la personne.

Pranava OM est le Plus important des Mantra du Yoga. Il est mentionné dans tous les textes de l’Inde, (les Vedas, les Upanishads, les textes tantriques), mais aussi dans nombre de cultures son apparition en introduction des grands textes religieux en montre toute l’importance. Précédent la plupart des formules mantriques, OM est omniprésent dans le bouddhisme et l’hindouisme, dans les religions Jaina et Sikhs. "AUM" devenu AMEN dans le judaïsme et le christianisme, nous renvoie à la célèbre formule "Au commencement était le verbe et le verbe était dieu..." Evangile de Saint Jean. On le retrouve aussi en ancienne Egypte sous la forme de "AMON" ou "AMUN", Dans l’Islam sous la forme de AMIN ou ALM (I se prononçant ?ou? devant une consonne). On le trouve aussi chez les celtes. La langue mystique des celtes Irlandais s’appelait Ogham, qui se prononce o-gam, Dans cette écriture sacrée des celtes apportée, selon la légende, par le dieu Ogma (pour les irlandais) Ogmios pour les gaulois. Le mot awen qui se prononce : a-ou-en et dont la traduction la plus proche est : "souffle" etc... Véritable sésame de la porte des secrets, OM conduit à la connaissance la plus haute.

OM est la pulsation de l’univers, la forme sonore de "ATMA" (la Conscience) Maitri Upanishad.

Cependant il ne s’agit pas de croire que le son audible est Dieu car il ne l’est pas. OM est tout et rien de ce qu’on peut imaginer par l’intellect. C’est avant tout l’expérience du sacré. Considérez la pleine lune et le reflet de celle-ci dans une flaque d’eau. Il est évident que le reflet n’est pas la pleine lune. Si vous lancez un caillou dans la flaque la déformation du reflet n’aura pas la moindre influence sur la lune. Cependant son reflet insignifiant est une fidèle représentation de la forme et des contours de la lune. De même "Om" est le reflet de ce qu’il représente, une fidèle indication de la réalité sous-jacente. Comme la flaque d’eau "Om" reflète la forme et la lumière divine. Mais pour celui qui sait écouter, le souffle de silence de "Om" révèlera la Conscience créatrice.

L’expérience de "OM"


"OM" est au delà du son audible. "La syllabe germe" surmontée d'un point et d'un croissant est sonore, par dela la syllabe est l'absolu silencieux. "Celui qui peut entendre le son qui ne sonne pas est délivré du doute" nous dit la Dhyana Bindu Upanishad. C’est pourquoi OM est décliné dans la pratique en trois sons audibles A,U et M. correspondant aux trois niveaux du mental; A le conscient, U le subconscient et M l’inconscient. Un quatrième état (Turya) le transcendantal est symbolisé par ce "Om" imprononçable et inaudible qui contient tout et qui est au delà des trois autres, selon la Mandukya Upanishad.

"A" symbolise aussi l’état de veille. Ce qui est manifesté sous toutes ses formes y compris les plus subtiles (Energie, flux de conscience, espaces des koshas,...). "A" est aussi un son créateur qui matérialise le "Sans Forme" en formes perceptibles à travers les sens. Son d’expansion par excellence, le Big Bang n’était probablement qu’un "A" immense générant cet univers en perpétuelle évolution qui n’en fini plus de s’étendre et de se complexifier. "A" est le son de la connaissance et de la perception de l’existant manifesté. Il concerne tout, le microcosme et le macrocosme.

Il faut noter que phonétiquement le passage de "A" à "U" passe par "O" le son de la globalité. "O" est le contenant de tout ce qui est. En résumé il y a expansion de conscience avec "A" et prise en considération du "Tout", de la globalité avec "AU".
"U" se prononce entre "O" et "OU" . Il symbolise l’état de rêve. Si "A" concerne essentiellement l’extérieur, "U" est plus un ressenti intérieur. Il concerne le pratiquant lui même. Il superpose l’image vibratoire de l’être que nous sommes sur celle de la Conscience Universelle."U" harmonise l’un avec l’autre. Celui qui chante AUM avec ferveur comprend rapidement qu’il n’est pas fondamentalement différent de tout ce qui l’entoure. La nature essentielle de l’homme est profondément la même que celle de tous les êtres de l’univers. Il est lui, il est l’autre, il est toutes choses. En cela AUM est universel. Expérimenter OM est d'ailleurs le seul moyen de le comprendre.
"U" est le son le plus grave qu’on puisse émettre. Proche des infrasons c’est celui que l’on perçoit encore au seuil du silence. Avant de quitter le manteau de surface pour découvrir ce que nous sommes en réalité; silence indicible, intérieur et mystérieux. "U" unifie les centres d’énergies internes du corps et conduit à l’unité.

Le troisième son est "M". Dans la pratique vocale du Mantra la bouche dessine d’abord un cercle puis un point. Les lèvres s’ouvrent sur le "A", puis se rapprochent sur le "U" et se ferment sur le "M". La resonance de "M". dans la tête, favorise la perception subtile du son "I" . Il s’agit là, de goûter le son du mantra, d'en prendre conscience. Le pratiquant découvre le "I" subtile qui s'élève au delà du "M". AUM prend alors toute sa puissance. Au delà de la vibration coronale, le souffle résiduel du son porte à la Conscience le substrat vibratoire du Mantra comme une fleur qui s’ouvre au soleil, libérant son parfum. AUM laisse advenir OM, l’Anusvara, le point au dessus du croissant, le son au delà de l’audible.

"la réalité est un cercle dont le centre est partout et la circonférence nulle part" disait Giordano Bruno. "Concentrez vous sur OM, dans le coeur comme si c’était la flamme d’une bougie de la taille du pouce". Dyana Bindu Upanishad

Pratique vocale

Comme tous les Mantra, AUM n’a pas de pouvoir intrinsèque propre. C’est la combinaison de la voix, de l’écoute et du Mantra qui crée la valeur de AUM. Encore faut-il trouver la qualité vocale, la disponibilité mentale, la verticalité d’assise, la fluidité énergétique du corps, le centrage,... pour donner à la méditation toute sa puissance. La Dyana Bindu Upanishad nous dit "Tel le flux continu d’un courant onctueux et telle la vibration d’une cloche chantez OM et comprenez le véritable sens des Védas". Par la vibration adéquate de la voix et la répétition mantrique, le champ mental cessera d’être le théâtre de la dispersion et se libèrera peu à peu des mécanismes incessants de la pensée. Dans cette disponibilité mentale, chaque cycle du japa (répétition) est l’occasion d’affiner la perception. Les composantes sonores de AUM, apparaîssent peu à peu, complexes et subtiles, jusqu'à rendre la répétition mantrique superflue. Entrez alors en immersion progressive dans le silence. Laissez le contact s’établir, imprégnant vos sens, sans commentaires intérieurs. L’indicible contemplation des chemins de la conscience peut alors commencer.

Dans la méditation rien est figé, tout est mouvement et formes vibratoires. Le pratiquant est d’abord l’Observateur, puis dans le silence qui suit le son, le Mantra libère son énergie créatrice et prend sa forme et son sens. la révélation de la conscience est donnée dans un espace de relation directe, sans commencement ni fin, hors du temps. Conscient de tout et présent à l’expérience, le méditant fini par se résorber à son tour dans l’arrière plan. Dans la vacuité l’union se réalise. Turya, le quatrième état, est alors donné comme un cadeau à ceux qui sont choisis. Le principe Divin est ainsi révèlé au fond du coeur comme un trésor de paix et de bonheur.

Bien que donnée parfois en dehors de toute initiation, la découverte de AUM et de ses joyaux nécessite souvent la présence d’un Maître de Yoga. Un guide spirituel qui puisse donner au pratiquant les conseils utiles. Afin de faciliter son travail, ajustant sa voix et vérifiant sa qualité d’enracinement indispensable dans toute pratique spirituelle.

Patrick Torre

L'enfant de Dikika : un fossille de 3/3 millions d'années...


IRIB- Des paléontologues ont découvert à Dikika, dans le Nord-Est de l’Ethiopie, le squelette fossile presque complet d’un enfant australopithèque, vieux de... 3,3 millions d’années ! 5 années de travail acharné ont été nécessaires pour sortir des sédiments le visage, la boîte crânienne, le torse, et une bonne partie des membres inférieurs et supérieurs.

De la même famille que la, désormais, célèbre Lucy, l’enfant de Dikika – probablement, une fille - va permettre de mieux comprendre comment se sont développés nos ancêtres. L’étude des dents et de la mâchoire fait penser aux spécialistes que cet enfant devait avoir 3 ans : sa morphologie indique que l’enfant était capable de bipédie, cependant ses longs bras et la longueur de ses doigts suggèrent, aussi, une capacité à passer de branche en branche. L’étude complète du fossile devrait prendre de nombreux mois et apporter de nombreuses réponses : ««C’est le genre de chose qu’on ne trouve qu’une fois, dans sa vie», a commenté Zeresenay, l’un des anthropologues engagés dans le projet

mardi 28 février 2012

Une Bible millénaire redécouverte à Ankara


Ce livre de cuir aux lettres dorées pourrait bien être une Bible millénaire, datant de plus de 1500 ans. Le manuscrit a été redécouvert en Turquie il y a peu, après avoir été saisi en 2000 lors d’un coup de filet contre des contrebandiers en Méditerranée.

Il sommeillait depuis douze ans dans les placards de la justice, et pourtant il pourrait bien s’agir d’un vrai trésor car il est écrit en araméen, la langue de Jésus. Il est désormais en phase de restauration et d’authentification au musée ethnographique d’Ankara.

D’après certains médias turcs, le Vatican aurait demandé à pouvoir le consulter, une rumeur aussitôt démentie par le Saint-Siège.

Certains journaux avancent aussi que cet ouvrage pourrait être l’Evangile de Barnabé, un texte dans lequel Jésus citerait l’avènement du prophète Mahomet.


Quoi qu’il en soit le manuscrit a été placé sous haute protection, il serait estimé à plus de 17 millions d’euros.

Soupçons mortels sur des somnifères


Selon une étude américaine, la prise de médicaments couramment prescrits pour dormir, comme le témazepam, le zolpidem, ou divers barbituriques et sédatifs antihistaminiques, est associée à un risque 4,6 fois plus élevé de mourir prématurément.

L'étude du Dr Daniel Kripke et de ses collègues californiens,  publiée lundi par le journal médical BMJ OPEN, ne montre pas directement un effet néfaste des somnifères. Tout au plus une tendance. Mais si elle est incapable d'établir un lien de cause à effet entre la prise de médicaments pour dormir et un risque accru de mourir, elle vient conforter d'autres études, qui avaient mis en évidence le même risque. Elle a en tout cas porté sur un nombre suffisamment important de patients (10.529 adultes, âgés de 54 ans en moyenne, comparés à un groupe de 23.676 de personnes n'utilisant pas d'aide médicamenteuse) et a porté sur une durée suffisamment longue (5 ans pour les utilisateurs de somnifères, deux ans et demi en moyenne pour le groupe témoin), pour écarter a priori tout soupçon sur la méthodologie.
                                 
Et les résultats sont impressionnants : pour les participants à cette étude, ceux qui prenaient des somnifères ont été exposés à un risque de mourir prématurément 4,6 fois plus élevé que les membres du groupe témoin. Les médicaments pris pour dormir ont été également associés, chez les plus gros consommateurs, à un risque de cancer significativement plus élevé (35%).

Des chiffres éloquents

Même chez les "petits" consommateurs (18 cachets ou moins par an), le risque de décès restait trois fois plus grand. Or, dans la liste de ces médicaments, on trouve des substance  couramment prescrites incluant la famille des benzodiazépines, comme le témazepam, les non-benzodiazépines, comme le zolpidem, les barbituriques et les sédatifs antihistaminiques. Quelques détails de l'étude donnent particulièrement à réfléchir : elle a ainsi noté 265 décès parmi les 4336 patients passés en revue prenant du zolpidem, très prescrit, contre 295 parmi les plus de 23.000 personnes qui n'avaient pris ni sédatifs ni comprimés pour dormir.

Comment expliquer cette surmortalité ? Difficile pour l'instant, et les travaux publiés ce lundi ne se prononcent pas sur ce point. Des études antérieures avaient établi un lien entre les somnifères et les accidents de voiture et les chutes, ainsi qu'avec des problèmes de régurgitations dans l'oesophage et d'ulcères. Dans le cas présent, les auteurs préfèrent souligner l'impossibilité d'établir une relation directe entre la prise de ces médicaments et le risque de décès ; mais ils ont tout de même choisi de donner l'alarme vu la consommation de ces substances. "Nous estimons qu'approximativement six à dix pour cent des adultes américains prenaient ces médicaments en 2010 et ces proportions pourraient être plus élevées dans certaines parties de l'Europe", écrivent-ils. Ils ne citent pas la France, mais notre pays est réputé pour sa surconsommation médicamenteuse... Selon une estimation, les hypnotiques pourraient en 2010 avoir été associés à 320.000 à 507.000 morts en excès aux seuls Etats-Unis et même s'il ne s'agissait que de 10.000 morts annuels en excès, ce serait trop, notent les auteurs.
 Source: LCI

Une statue sur Mars ?


IRIB-Encore une étrange photographie de Mars qui excite l’imagination des passionnés : selon Norman Bryden, l’image montre une architecture artificielle en la présence… d’une gigantesque statue, probablement féminine.

La photo, qui provient du Mars Global Surveyor, est activement étudiée par les scientifiques comme les amateurs : s’il s’avérait qu’il s’agit bien d’une statue à figure humanoïde (dont les bras semblent croisés à hauteur de la poitrine), la preuve serait faite qu’une intelligence extraterrestre a fait un peu de sculpture sur Mars… Sur la photo générale, certains voient déjà un réseau de routes dissimulées et une entrée de tunnel à la base de la « statue ». Peut-être que d’autres images avec des angles différents pourront nous aider à y voir plus clair…

Cancer: le sport, une source de bienfait encore trop peu exploitée

IRIB - Une étude présentée la semaine dernière à Marseille démontre l'importance d'une activité physique régulière en prévention comme dans le traitement de certains cancers. D'après les chercheurs, la sédentarité serait en partie responsable d'une hausse du nombre de cas. Si les bénéfices d'une activité physique sur la santé ne sont plus à démontrer, c'est un nouveau rappel qu'ont fait passer les chercheurs la semaine dernière au cours du 6e colloque du cancéropole Paca. D'après eux, le sport joue un rôle essentiel dans la prévention comme dans le traitement de certains cancers. Ainsi, Fabien Calvo, directeur de la recherche de l'Institut national du cancer (INCa) a même estimé que la sédentarité est l'une des principales causes de l'augmentation du nombre de cancers au cours de ces 20 dernières années. Une hausse qui a atteint 25% avec 365.000 nouveaux cas en France en 2011.

Ils ont découvert la molécule de la mémoire


IRIB-Récemment, des scientifiques de l’Université de New York pensent avoir trouvé le mécanisme moléculaire qui entretient la mémorisation des souvenirs dans le cerveau.

Ils sont en effet parvenu à effacer des souvenirs à long terme en inhibant l’action d’une molécule bien précise (protéine kinase M zêta), aussi simplement que l’on efface le disque dur d’un ordinateur ! L’espace libéré peut ensuite être réutilisé pour implanter une nouvelle séquence mémorisée. Des applications formidables pourraient être développées pour aider les personnes souffrant de désordres post-traumatique, ainsi que les gens atteints de perte de mémoire chronique. Une recherche approfondie sur cette molécule devrait également aider les chercheurs à atténuer les troubles de la maladie d’Alzheimer, elle aussi étroitement liée au stockage de la mémoire.

Les vertus curatives de l'électricité


IRIB-Des chercheurs du Royaume-Uni viennent de publier de surprenants résultats suite à leurs recherches sur la cicatrisation par champs électrique : ils ont réussi à accélérer la cicatrisation en modifiant le champ électrique autour d’une plaie.

Les cellules épithéliales chargées du processus de guérison des blessures suivent la direction du signal électrique, ce qui permet de refermer une plaie avec davantage d’efficacité et d’optimiser la vitesse de cicatrisation de l’entaille. Grâce à cette nouvelle étude en électrophysiologie (étude des champs magnétiques sur les mouvements cellulaires), il sera sans doute plus facile et rapide de soigner les blessures chroniques comme les ulcères.

lundi 27 février 2012

Le Rhinocéros de Sumatra indentifié !


IRIB-Pour les scientifiques et les photographes animaliers, capturer une image du rhinocéros de Sumatra était un défi de taille depuis plusieurs années.

C’est donc avec une certaine euphorie que la WWF annonçait avoir réussi à prendre pour la première fois l’animal en photo grâce à un appareil dissimulé dans l’île de Bornéo. « C’est une chance extraordinaire d’avoir pu saisir cet animal sur le vif seulement quelques mois après avoir installé un piège photographique dans cette zone » s’enthousiasme Mahedi Andau, directeur du département de la vie animal de Sabah. Extrêmement discret et rare (il n’en resterait que 300 spécimens dans le monde), ce rhinocéros vit dans les denses forêts malaisiennes et se distingue par sa petite taille et ses 2 cornes. Il intrigue les spécialistes car cette espèce mal connue serait apparentée au rhinocéros laineux de la préhistoire...

Découverte d'un nouveau type de planète extrasolaire


IRIB-Inenvisageable jusqu’à présent, les chercheurs d’exoplanètes ont pourtant découvert cet été l’existence d’un nouveau type de système.

Les astronomes ont en effet détecté un système double à 2 planètes tournant librement l’une autour de l’autre, et de manière totalement autonome, sans être influencées par une étoile ! Les premières observations indiquent qu’il s’agit d’objet très jeunes – 1 million d’années tout au plus – et leur mode de formation reste encore un mystère. De toute évidence, cette découverte risque de remettre en question les modèles actuels de formation des planètes extrasolaires !

Du coca à la place des pesticides


Un agriculteur dévoile sur Europe 1 sa recette un peu folle pour réduire les pesticides dans ses champs.

Le 13 février dernier, le géant américain Monsanto était jugé "responsable" de l'intoxication à l'herbicide en 2004 de Paul François, un agriculteur charentais, ouvrant la voie à des dommages-intérêts. Et relançant du même coup le débat sur les pesticides en agriculture. Des pesticides dont certains agriculteurs cherchent à se débarrasser en inventant des recettes un peu folles.

38 grammes d’aspirine et un litre de coca

Europe 1 a pu rencontrer Hubert, un agriculteur qui souhaite garder l'anonymat. Pour traiter un hectare de blé, lui utilise désormais 38 grammes d’aspirine associés à un litre de coca-cola. Grâce à cette mixture, Hubert peut désormais se passer d'"un traitement phytosanitaire" sur son blé, explique-t-il au micro d’Europe 1.

Agenouillé derrière son tracteur, Hubert verse le soda dans une cuve, puis il pulvérisera cette mixture sur sa culture. Le cultivateur s’est pour cela inspiré de recherches en laboratoire. Un traitement "maison" qui lui permet au passage, assure-t-il, de faire des économies : "ça équivaut à un traitement fongicide, valeur 40 euros par hectare", explique-t-il.

"15.000 euros par an"

Autre trouvaille, il utilise du liquide vaisselle pour diluer tous les autres pesticides qu'il n'a pas réussi à remplacer. Résultat : il utilise 80% de pesticides en moins que ses voisins. L’économie est également importante : "15.000 euros par an", se réjouit-il.

Ces recettes s’avèrent rentables et efficaces : sa ferme est classée parmi les meilleures de sa région.

La preuve chinoise de structures artificielles sur la Lune !


Une vidéo circule sur le Net depuis mi-février sur une découverte sans précédent faite par la sonde chinoise spatiale lunaire Chang'e 2 Orbiter:
Des photos de structures artificielles...

Des images prises par Chang'e-2 montrent clairement des bâtiments et des structures sur la surface de la Lune.

Il s'agit d'une fuite et la source, à priori chinoise, préfère rester anonyme...

La source a envoyé les photos à un membre de l'ADG-UK (Alien Disclosure Groupe du Royaume Uni) qui les a compilé dans cette vidéo qui fait le buzz : on peut y voir assez clairement des formes qui ressemblent étrangement à des bâtiments, un sorte de ville...

L'ADG précise toutefois qu'il ne peut confirmer l'authenticité de l'information présentée.

Une découverte dissimulée par les Américains ?


La Chine se dirigerait vers la divulgation complète de la réalité extraterrestre, et si ces images et celles à venir sont vérifiées et considérées comme authentiques alors un véritable scandale mondial pourrait être déclenché.

La Chine publiera-t-elle toutes ces données et les images de la sonde Chang'e-2 dans les mois à venir ?La question est posée.

À ce jour aucun spécialiste de l'image n'a validé ces clichés.

dimanche 26 février 2012

Dormir huit heures, ce n'est pas naturel ?

Dormir une nuit complète de huit heures ne correspondrait à notre cycle naturel de sommeil selon une étude anglo-saxonne.
Une enquête scientifique, relayée par GMA News, a livré la conclusion suivante : dormir pendant huit heures d’affilée ne serait pas quelque chose de naturel.
Deux chercheurs, Craig Koslofsky et Russell Foster, qui collaborent avec la BBC, se sont intéressés à des études antérieures menées sur le sujet. Et plusieurs de ces dernières révèlent un constat implacable : le vrai sommeil naturel correspond à quatre heures puis réveil de deux heures pour finir avec un autre dodo de quatre heures.
Au début des années 1990, selon la même source, un psychiatre a placé des personnes 14 heures par jour dans un noir total pendant un mois. Résultat, tous ces individus ont régulé de manière identique leur cycle de sommeil : ils dorment quatre heures, se réveillent durant deux heures pour se recoucher ensuite pendant encore quatre heures.
L'historien Roger Ekirch de Virginia Tech a publié aussi, en 2001, un article fondamental sur la base de 16 années de recherche, montrant des preuves historiques que l’on dormait les siècles derniers de cette manière, avec cette interruption de deux heures.
On dort huit heures en continu à cause de la société industrielle
Mais que faisait-on durant ces deux heures ? Selon Ekirch, citée par la même source, on priait, méditait, fumait, allait aux toilettes ou rendre visite aux voisins. On avait aussi évidemment des relations sexuelles et ces deux heures étaient même considérées comme le moment propice.
Mais d’où vient alors cette règle de la nuit complète de huit heures que l'on croyait intangible.
Ce cycle continu, sans interruption, est né tout simplement avec l’apparition de la lumière artificielle et du développement de la société industrielle qui a imposé des horaires de travail strictes au XIXe siècle à la majorité de la population.
Le problème est qu'un nombre incalculable de personnes ont subi, et subissent encore aujourd’hui, ce changement de rythme : apparition des phénomènes d’anxiété nocturne, des maladies d’insomnies avec l’envahissement des anxiolytiques en accessoire.

Source: Gentside

samedi 25 février 2012

Des molécules de fullerènes, découvertes, dans l’espace


Le télescope "Spitzer" vient de détecter, dans l’espace, des molécules de fullerènes, sous forme solide, une première. Les fullerènes sont des molécules composées de soixante atomes de carbone pouvant prendre une forme géométrique rappelant celle d'une sphère, d'un ellipsoïde, d'un tube (appelé nanotube) ou d'un anneau. Or, si celles-ci ont été découvertes, pour la première fois, dans des météorites, sous forme gazeuse, c’est, cette fois, sous une forme solide, que "Spitzer" les a retrouvées, dans l’espace. C’est une première, car après avoir été détectées, en 2010, les fullerènes avaient rapidement été repérées, dans plusieurs régions de l’Univers. Elles s’étaient même révélées extrêmement nombreuses, dans les nuages de Magellan. Toutefois, à chaque fois, elle se présentait sous forme gazeuse. Dans le cas présent, les fullerènes, sous forme solide, ont pu être repérées, grâce à la lumière distincte qu’elles émettent.

4 ailes pour les premiers oiseaux


IRIB-Une nouvelle étude publiée dans la revue ‘Paleobiology’ indique que les premiers oiseaux sur Terre disposaient d’une seconde paire d’ailes au niveau des pattes qui les aidait à se poser en douceur.

Une information qui confirme la théorie suggérant que les oiseaux préhistoriques ont d’abord utilisé la technique du ‘parachute’ en se laissant tomber des arbres, avant d’être capable de réellement voler. « Cette étude met en évidence le fait que les oiseaux descendent d’espèces parachutistes et planantes, tout comme les écureuils volants » s’enthousiasme Nick Longrich, en doctorat à l’Université de Calgary. L’un des représentants de cette espèce est l’Archæoptéryx, qui vivait il y a 150 millions d’années. Un croisement évident entre l’oiseau et le dinosaure, puisque l’animal possède des plumes et des ailes, mais aussi une longue queue osseuse, des griffes et des dents. Sa seconde paire d’ailes lui servait de stabilisateur et permettait de contourner les obstacles dans les forêts denses. Les scientifiques pensent qu’elle a disparu pour que les pattes puissent accomplir d’autres fonctions, comme courir, nager et pêcher.

Source : www.livescience.com - Crédits : Todd Marshall

Enquête sur la télépathie téléphonique


IRIB- Qui n’a pas, déjà, reçu un coup de fil d’une personne à laquelle on était, justement, en train de penser ? Doit-on, alors, parler de coïncidence statistique ou de télépathie téléphonique ? La très sérieuse enquête de Rupert Sheldrake, du réputé Trinity College de Cambridge, semble confirmer l’existence d’un phénomène de ‘prescience téléphonique’.

Le scientifique base son étude, sur une expérience simple : des cobayes donnent le noms de 4 proches ; les chercheurs contactent, ensuite, au hasard, l’une des 4 personnes, chargée, à son tour, de téléphoner au cobaye. La personne testée devait, alors, deviner, juste avant de décrocher lequel des 4 individus était à l’autre bout du fil... Avec près de 50% de résultats probants, l’expérience a été reconduite, avec le même succès, en utilisant la messagerie électronique ! «Les chances, pour que ce soit un effet du hasard, sont de 1 sur 1.000 milliards», estime Rupert Sheldrake, qui croit à l'interconnexion des esprits, dans un groupe social défini.

La nébuleuse du coeur


IRIB- Appelée moins poétiquement "IC1805", la Nébuleuse du Coeur doit sa forme rouge à son constituant principal : l’hydrogène.

Cet amas stellaire ouvert comprend une poignée de brillantes étoiles 50 fois plus massives que notre Soleil, et beaucoup d’étoiles faibles ne représentant qu’une fraction de la masse du Soleil. Un micro-quasar y fut expulsé, il y a des millions d’années de cela. La Nébuleuse, en forme de coeur humain, se situe, dans la Constellation de Cassiopée, à, environ, 7.500 années-lumière de la Terre.

Des centaines de planètes similaires à la terre !


IRIB- Selon une étude de chercheurs des Universités du Colorado et de Pennsylvanie, dont les résultats ont été publiés, dans la revue ‘Science’ du 8 septembre dernier, plus d’1/3 des systèmes solaires dans lesquels, on a pu détecter des planètes géantes contiendrait, également, des planètes ressemblant à notre Terre ! Ces planètes extrasolaires disposeraient, ainsi, d’eau, en grande quantité et d’océans profonds de plusieurs milliers de kilomètres, et seraient, donc, propices au développement de la vie...«L’étude indique que les Jupiter chauds poussent et attirent le matériau du disque proto-planétaire, durant leur voyage, en projetant des débris rocheux vers l’extérieur, où ils s’agrégeraient, pour former des planètes, telles que la Terre», précise Sean Raymond, de l’Université de Colorado. Confirmation que d’autres systèmes solaires abritent des soeurs jumelles de la planète bleue...

Un objet mystérieux, repéré, dans la constellation du bouvier…


IRIB- Mystère astronomique, qui fascine les astronomes du monde entier : un objet découvert, il y a quelques mois, dans la constellation du Bouvier, intrigue par ses étranges caractéristiques.

Tout d’abord, considéré comme une simple supernova, la luminosité du corps céleste s'est accrue, pendant une période bien plus longue qu'à l'accoutumée, et son spectre s'est révélé anormal... En effet, il lui a fallu, au moins, 100 jours, pour atteindre son maximum d'intensité lumineuse, alors que les supernovae normales atteignent d'ordinaire leur éclat maximal, environ, 20 jours, après l'explosion initiale. En outre, sa couleur n'a pas changé, depuis qu'on l'a observé, pour la première fois. Normalement, les changements de température, qui interviennent, après l'explosion, provoquent des modifications, dans les couleurs d'une supernova. «Ce pourrait être une étoile variable galactique, une supernova ou un quasar. Mais aucune de ces hypothèses n'a réellement de sens», explique Kyle Dawson du Laboratoire Lawrence Berkeley, en Californie. Pour le moment, l’énigme reste entière...

Une planète aussi légère que le liège !


IRIB- Nouveau mystère spatial et pas des moindres : une équipe américaine d’astronomes vient de découvrir une planète géante... et extralégère !

Cette nouvelle exoplanète est pourtant gigantesque - elle fait 2,5 fois la taille de Jupiter -, et est pourtant 50% moins massive... Une densité, exceptionnellement, faible – ¼ de celle de l’eau - qui la fait comparer à une grosse boule de liège. Baptisée ‘HAT-P-1’, l’exoplanète tourne en orbite autour d’une paire d’étoiles, à 450 années-lumière, dans la constellation du Lézard. Les astrophysiciens sont, pour le moment, incapables d’expliquer la formation de ce genre d’astres, qui pourraient rentrer dans une nouvelle catégorie : les ‘planètes-liège’.

50 villes de Chine touchées par des affaissements de terrain


Plus de 50 villes de Chine sont victimes d'affaissements de terrain sur une grande échelle, a rapporté lundi la Télévision Centrale de Chine (CCTV).

Pas moins de 79 000 kilomètres carrés de terrain se sont affaissés de plus de 200 millimètres, a déclaré à CCTV Zhang Zuozhen, Vice-président de l'Institut Chinois de Surveillance de l'Environnement Géologique.

Ces affaissements se sont principalement produits dans la zone du Delta du fleuve Yangtsé, en Chine du Nord et dans les zones de plaine couvrant la Province du Shanxi, dans le Nord, et la Province du Shaanxi, dans le Nord-Ouest de la Chine, a-t-il dit.

Les affaissements de terrain sont principalement causés par l'exploitation excessive des eaux souterraines, ce qui a provoqué des dommages aux bâtiments, aux ponts, aux canalisations souterraines et des dysfonctionnements du système de drainage urbain, selon le reportage.

Le Conseil des Affaires de l'Etat a approuvé un plan de prévention des affaissements de terrain de 2011 à 2020, qui a été élaboré conjointement par plusieurs ministères et commissions, dont le Ministère des Terres et des Ressources.

Selon Guan Fengjun, Directeur du Département de l'environnement géologique au Ministère des Terres et des Ressources, la principale méthode de contrôle de l'affaissement du sol est d'empêcher la baisse du niveau des eaux souterraines.

Le reportage a également indiqué que certaines villes ont déjà pris des mesures strictes pour limiter les prélèvements d'eaux souterraines.

A Xi'an, la capitale de la Province du Shaanxi, dans le Nord-Ouest de la Chine, par exemple, plus de 1 000 puits ont été scellés après que 150 kilomètres carrés de terres se soient affaissés de plus de 200 millimètres depuis 1959.

Et Shanghai, située sur le Delta du fleuve Yangtsé, recharge elle les eaux souterraines par l'intermédiaire de 121 puits, avec plus de 60 000 tonnes par jour.

Les scientifiques ont découvert une baleine unique


Pendant une expédition, les scientifiques australiens de la Division Antarctique et les océanographes ont trouvé dans la mer de Tasman, une race unique de baleine — la baleine à bec, dont l'existence était disponible uniquement en forme de témoignage écrit. Pour la première fois les scientifiques ont annoncé l'existence d'une baleine à bec en 1933. Ce temps-là, les marins ont trouvé un animal rare près de côtes de la Nouvelle-Zélande. Sous les hypothèses d'océanographes, Tasmacetus shepherdi (la baleine à bec de Tasmanie) habite dans la profondeur immense et remonte à la surface extrêmement rarement. Les informations sur les populations animales ne sont pas disponibles. Les scientifiques croient que la baleine à bec de Tasmanie est le type le plus primitif et le plus ancien de la baleine.

jeudi 23 février 2012

Une mystérieuse planète ultradense


Une étude révèle que la planète CoRoT-20b, située à 4.000 années-lumière de la Terre, est si dense qu’elle défie la théorie de formation des planètes.
La planète CoRoT-20b est une gazeuse géante qui fait environ les 4/5e de la taille de Jupiter. Bien que plus petite, cette étonnante planète pèse toutefois quatre fois plus que Jupiter, ce qui fait d’elle l'une des planètes les plus denses jamais observées, révèle une nouvelle étude.
Mais voilà, un problème se pose pour les astronomes : si CoRoT-20b est structurée comme une gazeuse géante traditionnelle (un noyau solide entouré d’une atmosphère gazeuse) le noyau de la planète devrait posséder une masse comprise entre 50 et 77% de la masse totale de ce monde. Or, avoir un noyau aussi massif va à l’encontre des théories permettant d’expliquer comment les planètes se forment.
Comme le rapporte le National Geographic, pour que CoRoT-20b ait une telle masse il faudrait qu’elle ait concentré jusqu’au dernier atome du disque protoplanétaire de son étoile dans son propre noyau lors de sa formation. "C’est quelque chose qu’il est difficile de comprendre et d’admettre", indique la responsable de l’étude Magali Deleuil du laboratoire d’astrophysique de Marseille. Une autre possibilité existe toutefois,  souligne cette spécialiste.
Avoir une telle densité pourrait également signifier que les éléments les plus lourds sont mélangés à travers l’atmosphère de la planète plutôt que rassemblés au sein du noyau central. Ce qui voudrait également dire que ce monde représente une toute nouvelle catégorie de planètes…

Source: Maxisciences