lundi 30 juillet 2012

75% des étoiles auraient une compagne


IRIB- Une étude vient de prouver que les trois quarts des étoiles de grandes masses auraient une étoile plus petite, à proximité, et interagiraient avec elle de manière violente.

Cela aurait des conséquences sur notre vision de l'espace et notamment sur la formation des galaxies.

Parue ce 27 juillet 2012 dans la revue Science, une étude vient de montrer que la plupart des étoiles de grandes masses très brillantes ne vivent pas seules. Ces astres qui conditionnent l'évolution des galaxies auraient en effet une "compagne", plus petite, à proximité. Or, quasiment les trois quarts de ces grosses étoiles auraient une partenaire de vie, soit bien plus que ce que les scientifiques croyaient jusque là.

La majorité de ces binômes connaîtraient alors des interactions les perturbant, notamment des transferts de masse d'une étoile à l'autre. Plus de 30% de ces "associées" finiraient même par fusionner pour ne former qu'une gigantesque étoile. L'étude a pu être menée grâce au très grand télescope (VLT) de l'Observatoire européen austral (ESO) qui a permis d'étudier des étoiles de type O. Celles-ci ont une température très élevée, une masse très importante et dégagent une très forte intensité lumineuse. Le principal auteur de l'étude, Hugues Sana de la University of Amsterdam, explique : "Ces étoiles sont de véritables monstres. Elles ont une masse d'au moins 15 fois la masse du Soleil et peuvent être jusqu'à un million de fois plus brillantes. Ces étoiles sont si chaudes qu'elles brillent d'une lumière bleuâtre très lumineuse et la température à leur surface dépasse les 30.000 °C". Néanmoins, leur durée de vie est extrêmement courte et elles sont liées à des phénomènes violents comme les "étoiles vampires". Ces dernières sont des astres plus petits qui aspirent la matière à la surface des étoiles de type O.

"La vie d'une étoile est fortement affectée s'il y a une autre étoile dans son voisinage" Un échantillon de 71

étoiles de type O faisant partie de six jeunes amas d'étoiles de la Voie Lactée proches de la Terre a été sélectionné. En analysant la lumière provenant de ces étoiles de manière bien plus précise qu'il n'avait été fait jusqu'alors, les chercheurs ont découvert que 75% des étoiles de ce type appartiendraient à des systèmes binaires. L'interaction entre les deux membres de chaque binôme d'étoiles serait également beaucoup plus importante qu'on ne l'avait imaginé. En effet, il y aurait une proportion d'étoiles-partenaires proches l'une de l'autre beaucoup plus importante que prévu. Or, plus deux astres sont proches, plus les interactions sont fortes. Il y aurait ainsi de plus nombreuses fusions stellaires et transferts de masse par des étoiles vampires.

Citée par Techno-science, la co-auteur de l'étude, Selma de Mink du Space Telescope Science Institute américain, détaille : "La vie d'une étoile est fortement affectée s'il y a une autre étoile dans son voisinage. Si deux étoiles sont en orbite l'une autour de l'autre en étant très proches, elles peuvent finalement fusionner. Mais, même si elles ne le font pas, une des étoiles aspirera bien souvent la matière de la surface de sa voisine". Selon l'étude, de 20 à 30% des étoiles de type O finiraient par fusionner, alors que 40 à 50% d'entre elles vivraient le phénomène lié aux étoiles vampires.

Notre perception de l'univers modifiée

L'étude montre que la vie de ces étoiles doubles massives est très différente de celle des étoiles individuelles. Cela implique une modification dans l'interprétation que l'on avait de l'univers. Par exemple, en ce qui concerne les étoiles vampires, la plus petite des deux étoiles aspire l'hydrogène de sa voisine. Cela lui permettra de vivre plus longtemps et même, éventuellement, de survivre à sa compagne. Sa durée de vie sera donc bien supérieure à celle d'une étoile individuelle de même masse. A l'inverse, la durée de vie de la grosse étoile diminuera.

Elle ne pourra pas devenir une supergéante rouge lumineuse, mais sera perçue avec une couleur bleue. Le bleu correspondant en réalité à des étoiles jeunes, le binôme d'étoiles paraîtra bien plus jeune qu'il n'est. De plus, bien que le pourcentage d'étoiles de type O soit faible, elles ont un impact très important sur leur environnement. Les vents et les chocs issus de ces étoiles sont capables d'initier comme de bloquer la formation d'autres astres. De même, leurs radiations alimentent le rayonnement des nébuleuses brillantes, leurs supernovae enrichissent les galaxies d'éléments lourds et elles produisent des sursauts gamma, parmi les plus énergétiques de l'univers.

Comme l'explique Hugues Sana, "la seule information qu'ont les astronomes sur les galaxies lointaines provient de la lumière qui atteint nos télescopes. Sans faire de supposition sur ce qui est à l'origine de cette lumière, nous ne pouvons pas dresser de conclusion concernant la galaxie, par exemple à propos de sa masse ou de son âge. Cette étude montre que l'hypothèse courante stipulant que la plupart des étoiles sont individuelles peut conduire à de mauvaises conclusions". Bien que des études complémentaires soient nécessaires, cette découverte permet déjà aux spécialistes de mieux comprendre notre univers.

Mais il faudra tout de même beaucoup de temps avant de réussir à construire des modèles d'étoiles binaires et de les intégrer dans les schémas de formation des galaxies.

Les trous noirs, une source de chaleur, pour l'univers


IRIB- Des chercheurs canadiens, américains et allemands ont découvert que les trous noirs auraient une influence sur la température des régions de l'espace, ce qui aurait une incidence directe sur la formation des galaxies.

Une équipe internationale, composée de chercheurs allemands, canadiens et américains, vient de montrer que les trous noirs pourraient expliquer la formation des galaxies dans certaines zones de l'univers. Une découverte qui change la vision des scientifiques, qui croyaient jusque là que les trous noirs supermassifs influençaient uniquement leur entourage immédiat. Mais les résultats publiés dans diverses magazines, notamment The Astrophysical Journal et Monthly Notices of the Royal Astronomical Society suggèrent le contraire.

En effet, toutes les galaxies présentent un trou noir supermassif en leur centre. Si ceux-ci émettent des rayons gamma de haute énergie, ils sont alors appelés "blazars". Comme l'expliquent les scientifiques, les radiations gamma transformeraient les photons de lumière visible qu'émettent les galaxies en particules élémentaires. Lors de leur formation, ces particules se déplaceraient alors à des vitesses proches de celle de la lumière mais seraient rapidement ralenties par les gaz environnants comme l'explique Techno-science.

Une part importante de l'énergie cinétique des particules serait alors transférée aux gaz sous forme d'énergie thermique, ce qui augmenterait leur température. Or, plus une région aurait une densité faible, plus sa température serait accrue. La température des régions de moyenne densité pourrait alors être multipliée par 10 seulement, alors que celle des régions de faible densité par 100.

Mieux comprendre la formation des galaxies

Dans leur étude, les auteurs expliquent ainsi que cette découverte permettrait de comprendre l'élargissement des raies d'absorption des quasars lors de la formation de l'univers. Les quasars sont les régions compactes situées autour des trous noirs supermassifs, au centre d'une galaxie supermassive. Ils tirent leur énergie des disques d'accrétion entourant les trous noirs et sont les entités les plus lumineuses de l'univers.

Au vu des observations faites, la découverte pourrait ainsi fournir des informations supplémentaires sur la formation des galaxies. Lors de l'évolution de l'univers, les régions denses de l'espace s'effondrent pour former des galaxies et des clusters de galaxies. Or, les régions trop chaudes donc de faible densité s'effondrent difficilement. Voila pourquoi moins de galaxies naines sont observées aux abords de la Voie Lactée et dans les régions peu denses, comparé à ce que les simulations cosmiques des scientifiques prédisaient jusqu'ici.

Kepler-30, un système "solaire" étranger qui ressemble au nôtre


Des astronomes ont découvert un système solaire étranger dont les planètes sont organisées de la même façon que dans notre propre système.

Cette découverte laisse à penser que la plupart des systèmes planétaires commencent par ressembler au nôtre, indiquent les scientifiques.

En étudiant le système solaire Kepler-30, situé à 10.000 années-lumière de la Terre, les astronomes ont découvert que plusieurs planètes orbitaient autour de leur étoile sur un seul et même plan. C'est ce qui se passe dans notre propre système solaire mais cela n'avait pas encore été découvert ailleurs. Ces résultats tendent ainsi à conforter la théorie sur la formation des planètes selon laquelle celles-ci se créeraient à partir d'un disque de poussière et de gaz tourbillonnant autour d'étoiles nouvellement nées.

En adéquation avec cette théorie, le tourbillon a ainsi pu être retrouvé et les planètes observées alignées. "Ce résultat est fondamental puisqu'il valide la théorie standard de formation des planètes", souligne Dan Fabrycky, co-auteur de l'étude et professeur à l'université de Santa Cruz cité par le Huffington Post. Etudier les interactions entre ces planètes pourrait de cette manière prochainement permettre de montrer comment elles s'organisent entre elles, ajoutent les chercheurs. Kepler-30 est un système composé de trois exoplanètes orbitant autour d'une étoile s'apparentant au Soleil.

Ces trois mondes, que sont Kepler-30b, Kepler-30c et Kepler-30d, sont plus grands que la Terre, deux d'entre eux étant même plus massif que Jupiter. Détecté en janvier par le télescope spatial Kepler de la NASA, Kepler-30 présente des taches qui correspondent à des zones plus froides, à sa surface. Or, il s'agit d'une similitude supplémentaire avec notre Soleil, ce qui fait de Kepler-30 notre voisin cosmique à plusieurs titres. Le fait que dans les deux systèmes les planètes effectuent leurs révolutions sur une même orbite et ce de façon répétitive, est particulièrement intéressant. D'autant que les systèmes comportant des exoplanètes ne sont pas tous aussi bien ordonnés.

Des observations à confirmer

Par exemple, plusieurs exoplanètes géantes gazeuses (Jupiter chauds ou pégaside) évoluent très près de leur étoile et ont une orbite décalée voire rétrograde. Malgré cela, "nous avons d'excellentes données statistiques sur l'obliquité des étoiles qui abritent des Jupiters chauds et ces systèmes s'accordent avec les théories de formation des étoiles en raison des interactions dynamiques qui s'effectuent entre ces corps célestes massifs", a expliqué M. Fabrycky.

Aussi, le chercheur indique également : "Notre travail est significatif mais nous aurons besoin d'étudier plusieurs autres systèmes pour montrer si, en effet, pour tous les systèmes proches du nôtre, le tourbillon de l'étoile s'aligne avec celui des planètes". Dans un e-mail adressé à Space.com, celui-ci a encore ajouté : "Jusqu'ici, nous avons identifié entre 5 et 10 nouveaux systèmes où nous pensons pouvoir appliquer cette méthode, mais le nombre est susceptible d'augmenter en même temps que de nouvelles données sont obtenues. Mais nous sommes confiants que nous serons capables de tester nos prédictions au cours des prochaines années".

vendredi 27 juillet 2012

50 milliards de planètes, dans la Voie lactée


IRIB- Les scientifiques viennent d'effectuer un recensement du nombre de planètes présentes dans la Voie lactée. Les premières estimations évaluent ce nombre à, au moins, 50 milliards.

Le télescope spatial Kepler de la Nasa a permis de calculer le nombre de planètes présentes dans notre Voie lactée. C'est en se servant des données de la première année de fonctionnement du télescope que le chiffre a pu être estimé. Les scientifiques ont simplement pris en compte le nombre de planètes tournant autour des étoiles brillant dans notre galaxie.

Ainsi, 500 millions des 50 milliards dénombrées pourraient abriter une forme de vie étant donné qu'elles sont situées dans des zones jugées ni trop chaudes ni trop froides, rapporte Cyberpresse.ca. Pour le moment, Kepler a découvert les planètes situées à proximité de leur étoile, sa portée ne permet pas de détecter les autres. Le chiffre de 50 milliards de planète ne concerne que notre galaxie et les scientifiques pensent qu'il existe environ 100 milliards de galaxies dans l'Univers.

mardi 24 juillet 2012

L'intelligence extraterrestre est sur le point de se révéler ..


Les experts du centre international de recherche SETI avertissent que trois grands objets non identifiés sont en train de s’approcher de la Terre. Ces objets pourraient être d’origine extraterrestre.


Les esprits ne se sont pas calmés après les films de Discovery Channel avec un commentaire choquant de Stephen Hawking. L’un des plus influents scientifiques, lauréat du prix Nobel, a fait une déclaration sensationnelle que les extraterrestres existent. Mais il supplie l’humanité de ne pas entrer en contact avec eux. Ce n’est pas la première fois que le scientifique parle des extraterrestres. Hawking est surtout connu grâce à son livre A Brief History of Time (Une brève histoire du temps) sur l'origine de l'Univers. Dans sa nouvelle série documentaire, il affirme que des formes de vie différentes existent dans de nombreuses parties de notre Univers, mais les extraterrestres peuvent tout simplement utiliser la Terre comme source de ressources pour leur développement et sont capables de l’occuper pour progresser dans leur évolution.

Les Américains se sont déjà penchés sur le problème de l'identification des créatures extraterrestres, mais pour l’instant au niveau génétique. Le professeur de génétique à l’Ecole de médecine d’Harvard Gary Ruvkun a développé une puce informatique qui peut détecter la présence de fragments des ADN extraterrestres. Cette puce devrait être intégrée dans le système de recherche du futur robot envoyé sur Mars et destiné à explorer la surface de la Planète Rouge. Le procédé prévoit que poussière de la planète soit d’abord mélangée à un réactif spécial, traitée ensuite avec des ultrasons pour détruire d’éventuels fragments organiques, et la puce peut alors analyser son contenu pour y trouver des traces d’ADN.

« Hommes verts », me recevez-vous ?...


Cela fait plusieurs dizaines d’années que les scientifiques se penchent sur la question de la vie en dehors de la Terre. Pour justifier la nécessité de recherche de la vie intelligente dans l’espace, les spécialistes américains ont décidé de faire recours au paradoxe du célèbre physicien Enrico Fermi, qu’ils perçoivent comme une contradiction entre la forte probabilité de l'existence de la vie intelligente dans l'Univers et l'absence de signes visibles de cette existence. Le scientifique a posé une question simple: « Si les civilisations extraterrestres sont si nombreuses, alors où sont-elles? ».

Les Américains ont proposé une solution à ce paradoxe. Ils ont constaté que si l’on fixe le temps moyen de vie dans notre Galaxie à 1000 ans, (les Terriens envoient des signaux radio dans l'espace pendant près 100 ans seulement), plus de 200 civilisations peuvent alors exister dans la Voie Lactée. Les Britanniques sont allés encore plus loin. À l'Université d'Edimbourg, on estime que dans notre Galaxie au moins 361 civilisations intelligentes existent, et leur nombre maximal pourrait atteindre 38.000.

Les progrès dans la théorie inspirent aujourd'hui non seulement les scientifiques de SETI, mais aussi des millions d’amateurs sur notre planète, qui essayent d’entendre des signaux radio des mondes inconnus depuis les années 1960. En 1977, le radiotélescope de l’Université d'Ohio a reçu un signal, qui a duré environ 37 secondes. Ce signal arrivait de la constellation du Sagittaire et était le plus fort de tous les signaux extraterrestres reçus précédemment. En 2004, le radiotélescope d'Arecibo (Porto Rico) a transmis un « appel », qui a reçu le code SHGb02 +14a, émanant de la partie de l'Univers à la frontière des constellations de Bélier et des Poissons.

Les derniers chiffres, publiés en 2008 par des scientifiques américains qui travaillent sur le programme de recherche de l'intelligence extraterrestre, sont sensationnels. Une des systèmes d’étoiles proches de la Terre pourrait être une copie conforme de notre Système solaire, mais aux premiers stades de son développement. Il n'est pas exclu, que l’homme aurait copié de cette manière une créature qui vivant dans les mondes lointains il y a plusieurs millions d’années. Le chimiste suédois Svante Arrhenius, l'un des premiers lauréats du Prix Nobel, a exprimé à la fin du 19e siècle l'idée de la panspermie : la vie sur Terre aurait pu être fécondée de l’extérieur par des moyens extraterrestres. La science officielle du 20e siècle a ignoré cette hypothèse. Mais maintenant, la plupart des célèbres physiciens-théoriciens en Europe et en Russie s’intéressent activement à la question de « transposition » de vie sur notre planète, réfutant la théorie « officielle » que la Terre est le centre du monde, et l'Univers tourne autour de la Terre. En Russie, la théorie de l’origine extraterrestre de la vie a été justifiée par les scientifiques de l'Institut de la spectroscopie de l’Académie des Sciences de Russie.

Du point de vue philosophique, on pourrait supposer que les extraterrestres cherchent à évoluer et transmettre les connaissances qu’ils ont acquises. C’est pourquoi il serait utile pour les êtres vivants des autres planètes d'envoyer dans la galaxie des milliers de tonnes de molécules biologiques – des microcapsules d'ADN, qui contiennent toutes les informations sur le type de vie auquel elles appartiennent. Cette manière d’« échanger » l'information est bénéfique du point de vue énergétique. Des particules avec l’ADN envoyées dans l'espace avec une vitesse spatiale de quelques dizaines de kilomètres par seconde sont distribuées dans la Galaxie en quelques millions d'années – une période « suffisante pour la perception ». Au contraire, le signal électromagnétique passant à la vitesse de la lumière, se propage trop vite et contient trop peu d’information.

Une partie de ses « ambassadeurs » disparaîtra. Ces particules seront soit capturées par le champ gravitationnel d'étoiles et brûleront, tandis qu’une autre partie sera détruite lors de l’explosion des étoiles supernovae. Mais une certaine partie des ces particules pourrait arriver sur des planètes ayant des conditions plus favorables, comme la Terre. Si les conditions sur la planète sont appropriées, le signal biologique ne va pas disparaître sans trace. Se retrouvant dans l’eau d'une certaine température, il peut commencer à se développer. L'ADN contient beaucoup d’informations – en tout 109 unités de l'alphabet génétique composé de quatre « lettres » - des nucléotides. Il est difficile d’imaginer toutes les combinaisons possibles avec ces symboles. C’est ainsi que naît la vie. Les spécialistes en génétique moléculaire affirment que seulement 5% de l'ADN de l’homme contient des informations utiles. Les 95% restants sont des parties « excessives » de l'ADN, renfermant le secret de la vie, y compris l’information utile et nécessaire pour le développement de l’humanité. Apparemment, en atteignant « leur » niveau de développement, nous pourrions faire la même opération de diffusion de la vie dans la galaxie pour les prochains millions d'années.

Il existe une autre preuve du fait que la vie a été transposée sur Terre depuis l’Univers. De récentes études microbiologiques de l'Institut russe de la médecine spatiale montrent que la vie aurait surgi dès que des conditions nécessaires se sont créées. L'âge établi du premier gène terrien est de 3,8 milliards d'années et l'âge géologique et de la formation de la Terre - 4,6 milliards d'années. Etant donné qu’il s’agit des chiffres proches, on peut donc en conclure que nous sommes bien ces « extraterrestres » arrivés sur Terre.

Andrei Kisliakov

dimanche 22 juillet 2012

Manuel Valls, ministre de l’intérieur et terroriste intellectuel!


Manuel Valls n’aime pas trop qu’on l’interroge sur sa participation à des clubs, comme celui du Siècle et de Bilderberg. Lorsqu’un journaliste l’interroge sur le caractère mondialiste des élites qui s’y réunissent, il use et abuse de techniques que je qualifierais de terroristes, intellectuellement parlant, bien sûr.

Connaissez-vous la technique dite de la “pente glissante” ? Non ? Moi non plus, jusqu’à ce que je lise le Petit cours d’autodéfense intellectuelle de Normand Baillargeon, et plus particulièrement le précieux chapitre “L’art de la fourberie mentale et de la manipulation” :

«La pente glissante est un paralogisme qu’on dit de diversion, parce qu’il distrait notre attention du sujet discuté en nous amenant à considérer autre chose – en l’occurrence toute une série d’effets indésirables attribués à un point de départ que défend notre interlocuteur dans un échange. Le raisonnement fallacieux invoqué ici est que si on accepte A, soit le point de départ que prône notre interlocuteur, il s’ensuivra B ; puis C ; puis D ; et ainsi de suite, de conséquence indésirable en conséquence indésirable, jusqu’à quelque chose de particulièrement terrible. L’argument, bien entendu, est destiné à prouver qu’on ne doit pas accepter A».

C’est exactement la technique utilisée par Manuel Valls, à l’encontre des journalistes de We Are Change Paris, venus l’interroger à l’occasion d’une séance de dédicace l’année dernière. Ne souhaitant pas répondre à une question qui le dérange, sur le caractère essentiellement mondialiste des élites qui se réunissent dans ces clubs très fermés, Manuel Valls dévale, à grande enjambée, une pente aussi glissante que malhonnête intellectuellement.

C’est ainsi que les journalistes se verront, à leur plus grand étonnement, assimilés aux tenants de la théorie du complot “judéo-maçonnique”, puis aux “négationnistes du 11 septembre”, et enfin, cerise sur le gâteau, aux “négationnistes de la Shoah”…

Voici la retranscription de cet échange sur-réaliste, avec celui qui est notre actuel ministre de l’intérieur.

We Are Change Paris : Vous avez participé au groupe Bilderberg en 2008 et en 2009 ? Manuel Valls : Non, une fois seulement.

WACP : En 2008.. MV : Ouai, aboslument. Attendez je signe… Qu’est-ce que vous voulez savoir ?

WACP : Qu’est-ce qui est discuté, qu’est-ce qui est débattu… MV : D’abord, je vous invite les uns et les autres qui vous intéressez à ce sujet à ne pas trop fantasmer sur la réalité de ce pouvoir. J’ai été invité comme le sont des responsables politiques importants (je ne suis pas censé le dire) mais par exemple il y avait Hubert Védrine, et il y avait l’ancien ministre des affaire étrangères vert Joshka Fisher, qui était aussi invité à cette conférence pour écouter, par pour m’exprimer, il y avait le directeur général de El Pais, je crois que c’est un lieu de rencontre entre des intellectuels, des journalistes, des économistes, des politiques, et moi j’étais invité comme un des responsables politiques peut-être en devenir, avec d’autre, pour participer, et pour entendre ce débat, et je trouvais d’ailleurs, c’était le début de la crise, hein… J’ai trouvé ça intéressant ; j’ai pas eu l’impression d’être au cœur d’un vaste complot…

WACP : c’était peut-être en plein pendant la crise, mais ça (le groupe de Bilderberg) existe depuis 1954, et ça regroupe des gens qui sont en fonction, des ministres…. MV : Oui, en fonction, ou plutôt, il y avait Kissinger, j’ai pas l’impression qu’il est en fonction…

WACP : il y a Jean-Claude Trichet et Pascal Lamy, eux, ils sont influents dans leur institution. MV : oui.. bien sûr…

WACP : Kissinger, Rockfeller et compagnie. MV : “compagnie”, je ne sais pas ce que ça veut dire, “compagnie”. Mais c’est des lieux, comme il en existe beaucoup, dans des cercles nationaux, dans des cercles internationaux. Si ça donne le sentiment que c’est un pouvoir, de gens qui décident du devenir du monde, je crois qu’on se trompe. Que ce soit les élites internationales se….

WACP : ça en donne bien l’impression en tout cas. Parce que en 2008, par exemple, Hillary Clinton qui avait participé au Bilderberg avec Obama, et le lendemain , elle abandonne sa campagne. Et puis Barack Obama… MV : oui mais vous savez, les thèses complotistes… Je pense pas que Hillary Clinton (rires) ait abandonné face à Obama à cause de ça… non, non…

WACP : Ce qu’il y a de plus troublant, c’est Herman Van Rompuy qui a été reçu par le Bilderberg cinq jours avant d’être nommé par le conseil européen. MV : vous êtes jeune (malheureusement, ou heureusement), abandonnez les thèses complotistes. Qu’il y ait une finance internationale, de la spéculation, des gens qui pensent la même chose et de la pensée unique, ça c’est incontestable, ici ou ailleurs. Il n’y a même pas besoin que les gens se réunissent pour qu’on puisse le critiquer. Moi ça m’a intéressé, parce que c’est l’occasion d’écouter des avis aussi très différents, sur des sujets extrêmement… Même s’il y a une règle quand on est invité, c’est de ne pas trop dire ce qu’il s’est passé…

WACP : c’est ça qui attire les soupçons… MV : oh, oui, peut-être, invitez-les à faire de la transparence. Merci !

WACP : euh, oui, mais de par les fonctions qu’ils occupent, les différents participants sont tout de même capables de mettre en application des décisions qui peuvent avoir été prises sur place. MV : oui, à titre personnel, je n’ai pas eu le sentiment de vivre ça. Il y avait la Reine d’Espagne, je n’ai pas le sentiment que c’est elle qui dominait de l’avenir de la politique nationale espagnole.

WACP : David Rockfeller, Kissinger, … MV : mais est-ce qu’ils ont besoin de ça pour compter davantage dans leurs pays ? Honnêtement, non, non…

WACP : disons qu’ils sont déjà influents par le biais des institutions dans lesquelles ils sont, mais en plus de ça, il faut donc qu’ils se retrouvent en secret. MV : en secret, vachement, parce que il y a des manifestants devant, et que vous m’interrogez (rire).

WACP : avant ce n’était pas médiatisé depuis 1954. MV : non, mais, ce n’est pas que je ne veux pas vous répondre, mais franchement voilà. Je comprends les critiques qui peuvent être apportées sur telle ou telle institution…

WACP : mais là, ça fait un peu “femme de ménage anti-conspirationniste”, ça fait un peu “circulez, y a rien à voir” ! MV : de qui ?

WACP : de toutes les personnes à qui on peut poser la question. MV : ah, non, mais moi, je vous réponds très franchement, mais faites attention aux thèses complotistes.

WACP : selon vous, donc, est-ce que ça a une légitimité démocratique, le fait que des journalistes puissent discuter avec des hommes politiques… MV : une légitimité démocratique ? Je crois que ce n’est absolument pas le but, la démocratie, c’est le choix les citoyens, c’est le peuple, vous ne pouvez pas interdire à des gens de se réunir, comme je ne peux pas vous interdire de me questionner, etc.

WACP : on a bien l’impression que le clivage droite/gauche présenté par les médias, on se paie la tête du bon peuple, si je puis dire… Comme le Club du Siècle par exemple, dont faites partie…. MV : et alors, qu’est-ce que vous voulez dire ?

WACP : des hommes politiques de droite, de gauche… MV : mais c’est bien !!

WACP : …qui sont essentiellement mondialistes…. MV : aaah, des mondialistes… Au cœur-même du complot judéo-maçonnique !

WACP : …mais vous êtes pour une gouvernance mondiale, si je ne me trompe pas… MV : et puis il y a même des gens qui expliquent que par exemple les attentats du 11 septembre n’ont pas eu lieu.

WACP : …non, pas qui n’ont pas eu lieu, personne ne dit ça. Qui se posent des question sur la “version officielle”. MV : ah voilà, nous y sommes, là. Les mêmes qui critiquent le Bilderderg, qui mettent en cause le Siècle…

WACP : …non, ce ne sont pas les mêmes, pas forcément…. MV : non attendez, attendez, mais c’est étrange, les mêmes qui parlent du Bilderberg, les mêmes qui parlent du complot mondialiste, du Siècle, etc. sont les mêmes, comme vous, messieurs, qui posent des questions sur le 11 septembre, donc notre entretien est terminé, parce que…

WACP : … parce que je suis “conspirationniste”, c’est ça ? MV : non, vous êtes des gens qui se posent des questions qui, malheureusement, sont assez inquiétantes, surtout quand on est aussi jeune que vous. Et c’est les mêmes qui, ensuite, je vous l’accorde, nient la Shoah.

WACP : ah non, non, non, là c’est faux. Les mêmes personnes qui se réunissent au Bilderberg, ce sont les mêmes pesronnes qui font la promotion d’une idée gouvernance mondiale : Jacques Attali, Herman Van Rom Puy… MV : …ce sont des doux dingues sympathiques, comme vous…

WACP : je suis un psychopathe ? MV : non, pas psychopathe, mais quand on nie le 11 Septembre, et quand on nie la Shoah, c’est qu’il y a un vrai problème.

WACP : mais je ne nie pas le 11 septembre, personne ne nie le 11 septembre. MV : allez, au-revoir ! Bonne fin de journée, et surtout, reprenez vos esprits. Hein ? C’est important…

WACP : n’oubliez pas : la confiance n’exclue pas le contrôle. MV : non bien sûr, mais si vous aviez été dans la tour du 11 septembre, je pense que vous ne l’auriez pas nié.

WACP : ce sont les familles des victimes qui demandent la réouverture d’une enquête ! MV : oui, je sais, non, mais c’est peut être même le complot judéo-maçonnique…. Allez, au-revoir…

WACP : c’est ça, merci monsieur, c’est gentil, au-revoir…

On notera le malin plaisir qu’éprouve Manuel Valls à se foutre de la gueule du journaliste, et à travers lui, des internautes, donc, des électeurs. Chacun appréciera.

vendredi 20 juillet 2012

Beauté et intelligence vont de pair, selon des chercheurs


IRIB- Dévoilées dans la revue "Intelligence", des études, à long terme, de chercheurs britanniques et américains montreraient que les personnes physiquement attrayantes sont, en outre, plus intelligentes que les autres.

Au Royaume-Uni, les hommes physiquement séduisants auraient en moyenne un QI supérieur de 13,6 points à celui des autres hommes, et les jolies femmes 11,4 points de plus que les autres représentantes du sexe dit faible : c'est ce que révèle une étude nationale sur le développement des enfants, qui a suivi, de l'enfance à l'âge adulte, tests à l'appui, 17.419 personnes nées en mars 1958.

Une autre recherche, faite aux Etats-Unis à partir d'une étude nationale sur la santé des adolescents, et impliquant 35.000 jeunes américains, a donné des résultats similaires. Les individus ainsi "bénis des dieux" s'attireraient mutuellement, donnant naissance à des lignées de gens physiquement et intellectuellement "supérieurs". "Notre affirmation selon laquelle les gens beaux sont plus intelligents est purement scientifique. Ce n'est pas une prescription sur la façon de traiter ou juger autrui", croit bon de préciser Satoshi Kanazawa, chercheur à la London School of Economics, qui a mené l'étude anglaise.

"Près de 40.000 planètes sont susceptibles d'héberger une vie intelligente"


IRIB- 37.964. Tel est le nombre de planètes susceptibles d'héberger une forme de vie intelligente, selon l'astrophysicien Duncan Forgan, de l'Université d'Edimbourg, en Ecosse.

M. Forgan a mis au point un programme informatique permettant de comparer les données récoltées sur les quelque 330 planètes découvertes à ce jour par l'Homme. Après avoir estimé combien d'entre elles pourraient présenter un milieu favorable à la vie, en fonction des conditions de température, de la présence d'eau, de différents minéraux... Le scientifique a extrapolé ses résultats à l'ensemble de la Voie lactée. Trois scénarios du possible développement d'une vie extraterrestre ont été pris en compte : selon le premier ("il est difficile pour la vie de se développer mais facile d'évoluer"), au moins 361 planètes pourraient héberger une forme de vie intelligente. Le second scénario, supposant que la vie apparaît facilement mais se développe ensuite difficilement, élève ce nombre à 31 513. Enfin, le dernier scénario, envisageant la dispersion de la vie de planète en planète par des astéroïdes, mène à un total de 38 000 planètes, selon le Journal of Astrobiology.

M. Forgan pense que 300 à 400 ans s'écouleront encore avant un hypothétique contact avec une forme de vie intelligente extraterrestre et précise: "Je pense que l'évaluation chiffrant à 361 le nombre de mondes susceptibles d'héberger une telle forme de vie est le plus proche de la réalité, mais les autres scénarios ne peuvent être totalement exclus."

jeudi 19 juillet 2012

Avaler, c'est bon pour la santé!


Vous ne vous en doutiez pas une seconde et pourtant le sperme a des vertus extraordinaires sur la jeunesse de nos cellules. La spermidine contenue dans la semence masculine vous offre la jeunesse éternelle et vous protège contre la maladie d'Alzheimer, selon des chercheurs autrichiens.

Les scientifiques, Tobias Eisenberg et Frank Madeo, expliquent que la spermidine rend les cellules immunitaires masculines plus résistantes. Des tests sur des souris ont démontré que celles ayant été traitées avec la spermidine ont subi moins de dommages liés au vieillissement que les autres. "C'est en quelque sorte le Graal sacré contre le processus du vieillissement des cellules".

Les résultats de cette étude sont également intéressants pour le traitement des maladies liées au grand âge, comme Alzheimer et Parkinson. On trouve la spermidine en haute concentration dans le sperme, mais aussi dans les pamplemousses et le soja. (ca)

mercredi 18 juillet 2012

Les vaccins sont la seule cause plausible du syndrome de mort subite du nourrisson

Gaia Health Blog, Heidi Stevenson, 15 juillet 2012

Il semble y avoir peu d'études sur le phénomène de mort subite du nourrisson, en dépit du fait que c'est la première cause de la mortalité des bébés nés en bonne santé ! Serait-ce parce qu'il est provoqué par les vaccins ?

Dans l'étude documentant les plus hauts taux de mortalité infantile chez les plus vaccinés (1), les auteurs ont aussi étudié le Syndrome de Mort Subite du Nourrisson (SMSN). Il s'agit d'une nouvelle classe de décès pour les bébés qui meurent sans raison connue. Elle fut introduite en 1973.

Il semble y avoir peu d'études sur ce syndrome, en dépit du fait qu’il est la première cause de décès entre 1 à 12 mois !

Tel que le déclarent les auteurs de l’étude, Neil Z. Miller et Gary S. Goldman :
Avant les programmes de vaccination modernes, la « mort au berceau » était si rare qu'elle n’était pas mentionnée dans les statistiques de mortalité infantile. En Zunie, pour la première fois dans l'histoire, la plupart des nourrissons durent encaisser plusieurs vaccins : DTC (diphtérie + tétanos + coqueluche), polio, rougeole, oreillons et rubéole. Peu de temps après, en 1969, les certificateurs médicaux introduisirent une nouvelle expression médicale : Mort subite du nourrisson. En 1973, le National Center for Health Statistics ajouta une nouvelle classe de cause de décès – pour le SMSN – à l’ICD (International Statistical Classification of Diseases and Related Health Problems). Le SMSN est défini comme la mort soudaine et inattendue d'un nourrisson, qui demeure inexpliquée après enquête approfondie.

En d'autres termes, des bébés meurent et personne ne sait pourquoi, du moins, officiellement. Pourtant, l'étude de Miller et Goldman fournit des données solides qui indiquent que ce syndrome est une conséquence des vaccinations.

Tentative de cacher le syndrome de mort subite du nourrisson

Les auteurs discutent de la façon dont les gouvernements ont réagi. Le SMSN fut initialement attribué aux bébés qui dorment sur le ventre – pourtant, la raison pour laquelle cela provoqua tout à coup un arrêt respiratoire chez les bébés, alors que ce ne fut jamais un problème dans le passé, n'a jamais été étudiée. Cela parut diminuer de 8,6% le Syndrome de Mort Subite du Nourrisson (SMSN), mais s’accompagna d’une augmentation de 11,2% du Syndrome de Mort Subite Inexpliquée du Nourrisson (SMSIN). Les auteurs citent plusieurs études montrant que, bien que moins de SMSN furent enregistrés, la recrudescence d'autres décès inexpliqués de jeunes enfants n’entraîna pas de différence significative dans la mortalité inexpliquée des jeunes enfants. Ils déclarent :
Dans la période toute récente de 1999 à 2001, une vérification plus minutieuse révèle que, en Zunie, le taux de SMSN post-néonatal a continué de baisser, mais qu’il n'y a eu aucun changement significatif dans le taux total de mortalité post-néonatale. Pendant cette période, le nombre de décès attribués à des « étouffements dans le lit » et à « des causes inconnues » a augmenté de manière significative.

En d'autres termes, toute diminution apparente du SMSN est le fait d’une supercherie.

Principales causes de mort subite du nourrisson

En Zunie, le SMSN est officiellement la troisième cause de mortalité infantile. Toutefois, en éliminant les causes liées aux anomalies congénitales et au poids insuffisant à la naissance, il devient la première cause de mortalité infantile !

Les plus récentes données sur les taux de mortalité ont été publiées en 2008 (2) par les Centers for Disease Control (CDC). Elles indiquent 28.075 décès de nourrissons au total. 2350 sont décrits comme des SMSN, soit 8,4% du nombre total de décès de nourrissons.

Selon les données des études de Miller et Goldman, en 2001, le taux rapporté de la mortalité due au SMSN était de 50,9 sur 100.000, mais en le rajustant pour les cas qui étaient précédemment identifiés comme des SMSN, ce taux était de 75,4 sur 100.000. Si nous supposons alors que le taux réel de la mort du SMSN est de 48% plus élevé, le nombre réel de morts du SMSN se monte à 3478, soit 12,4% du nombre total de décès de nourrissons.

La réalité est probablement encore pire. Les auteurs notent qu'il existe plusieurs autres catégories pouvant inclure les morts du SMSN, notamment les « maladies virales non spécifiés », les maladies du sang, la septicémie, les maladies du système nerveux, les lésions cérébrales anoxiques, les autres maladies du système nerveux, les maladies du système respiratoire, la grippe et les maladies non spécifiées du système respiratoire. »

Lien du SMSN aux vaccins

Ce qui est à l’origine du SMSN ne parvient généralement pas à être examiné d'une manière sérieuse. Insinuer que c’est parce que les bébés dorment sur le visage est ridicule, superficiel. Quand des parents font dormir leur bébé sur le ventre, son visage est tourné sur le côté. Par conséquent, pour avoir la possibilité de s'étouffer, les bébés doivent d'abord être capable de tourner assez la tête pour se retrouver visage vers le bas, dans le matelas et les couvertures. Il n'est absolument pas raisonnable de penser que le bébé capable de faire cela ne puisse pas réagir si sa respiration est gênée. Si un bébé s’étouffe en position couchée sur le ventre, alors il est arrivé quelque chose qui empêche le bébé de réagir. De toute évidence, il est ridicule de suggérer que le problème réside dans le fait de placer incorrectement les bébés sur le ventre pour dormir !

Dans ces conditions, quelle est la cause vraiment logique de la mort subite ? Miller et Goldman citent des études ayant étudié le vaccin DTC (diphtérie-tétanos-coqueluche) et des vaccins multiples, qui attestent d’une forte probabilité mettant en cause les vaccins.

Ils citent l'étude de Torch, qui montre que : 6,5% des SMSN surviennent dans les 12 heures suivant la vaccination DTC.
6,5% meurent dans les 12 à 24 heures ; soit un total de 13% dans les 24 heures.
13% meurent dans les 24 heures à 3 jours ; soit un total de 26% dans les 3 jours.
15% meurent dans les 3 jours à 1 semaine ; soit un total de 37% dans la semaine.
24% meurent dans la 2ème semaine ; soit un total de 61% dans les 2 semaines.
9% meurent entre la 2ème et la 3ème semaine ; soit un total de 70% dans les 3 semaines.

Cette étude note en outre que la plupart des bébés exempts du vaccin DTC sont victimes du SMSN pendant les mois d'hiver. Mais, la plupart des vaccinés victimes du SMSN sont associés à 2 et 4 doses mensuelles de DTC. L'étude de Torch (3) rapporte que le DTC :
peut être une cause majeure, généralement non reconnue, de mort subite du nourrisson et de la petite enfance, et les risques de la vaccination peuvent prévaloir sur ses avantages possibles. Cette étude montre la nécessité de réévaluer et de modifier éventuellement les protocoles de vaccination actuels.

Une étude réalisée par Walker et autres (4) a découvert : le taux de mortalité du SMSN dans la période de zéro à trois jours suivant le vaccin DTC est 7,3 fois plus élevé que pendant la période commençant 30 jours après la vaccination.

Une étude réalisée par Fine et Chen (5) constate que le taux de mortalité des bébés est presque 8 fois plus grand dans les 3 premiers jours suivant la vaccination DTC.

Ottaviani et autres (6) ont étudié la mort d'un bébé de 3 mois qui a succombé subitement après une vaccination 6-en-1. Ils ont clairement attribué la mort du bébé au vaccin hexavalent :
L’examen du tronc cérébral sur des coupes sériées a révélé une hypoplasie bilatérale du noyau arqué. Le système de conduction cardiaque présentait une dispersion fœtale persistante et une dégénérescence résorptive. Ce cas donne un aperçu unique sur le rôle possible du vaccin hexavalent dans le déclenchement d’une issue fatale chez un bébé vulnérable.

La mort vaccinale

L’unique chose paraissant avoir un lien crédible avec le SMSN est la vaccination. Nous disposons en ce moment de preuves évidentes associant le DTC et les autres vaccins multivalents au SMSN, et un fort lien causal est également indiqué.

En dépit d’un énorme battage médiatique prétendant que les vaccins sauvent des vies, il est évident qu’il repose en majorité sur de fausses certitudes. La plupart des maladies infantiles avaient déjà décliné au point d'être rares ou anodines avant la mises en œuvre à grande échelle des vaccinations. Il est de loin plus crédible de créditer la meilleure nutrition, les réseaux d’eau potable et sanitaire (égouts) du déclin de la mortalité infantile. Ainsi, même s'il est vrai que des vaccins sauvent des vies, les vaccinations sont de loin moins importantes que la propagande en leur faveur.

De toute évidence, tous les avantages des vaccins doivent être mis en balance avec les torts évidents qu'ils font.

Le SMSN représente 12,4% de la totalité des décès de nourrissons. Nous disposons de preuves solides montrant que le SMSN est dû aux vaccins. Ainsi, 12,4% de la totalité des décès de nourrissons se montrent dus aux vaccins. Cela n'inclut pas les autres dommages faits par les vaccins, notamment l'autisme, qui détruit la vie de millions d'enfants partout dans le monde et entraîne d'énormes coûts pour la société. Une chose qui commence seulement à être reconnue, car beaucoup de ces enfants parviennent à l'âge adulte sans avoir la capacité de s’intégrer à la société.

L’actualité regorge désormais d’histoires de méfaits de Big Pharma. Ses tromperies et manipulations sont stupéfiantes, et l’odeur de sa corruption est intenable dans les services de santé publique.

Nous avons vu que la principale étude étayant l’absence de lien entre autisme et vaccins, l'étude Thorsen (7), baignait dans la corruption (8). Il est tout simplement inconcevable que la recherche étayant l'innocuité vaccinale ou son efficacité soit crédible. Associée à Big Pharma, la pseudo-science, parodie de la vraie recherche scientifique, caractérise la majorité de ce qui passe pour du savoir.

Tant que nous ne verrons pas d’étude honnête sur la sécurité des vaccins – individuels et en combinaisons multivalentes, et sur l'impact du programme entier avec chaque vaccin supplémentaire – tout parent qui accepte de faire vacciner ses enfants joue avec leur vie. Si ce système médical ne corrompait pas autant, on considérerait qu’il met les enfants en danger, et ça entraînerait des peines de prison.

Sources 



Torch WC. Diphtheria-pertussis-tetanus (DPT) immuniza-tion: a potential cause of the sudden infant death syndrome (SIDS) [Vaccination diphtérie-tétanos-coqueluche : Cause possible du syndrome de mort subite du nourrisson]. American Academy of Neurology, 34ème séance annuelle, 25 avril–1er mai 1982. Neurology 32(4): pt. 2

Walker AM, Jick H, Perera DR, Thompson RS, and Knauss TA. Diphtheria-tetanus-pertussis immuniza-tion and sudden infant death syndrome [Vaccination diphtérie-tétanos-coqueluche et syndrome de mort subite du nourrisson]. Am J Public Health 1987; 77: 945–951.

Fine PE and Chen RT. Confounding in studies of adverse reactions to vaccines [Confusion dans les études sur les réactions indésirables aux vaccins]. Am J Epidemiol 1992; 136: 121–135

Ottaviani G, Lavezze AM, and Matturri L. Sudden infant death syndrome (SIDS) shortly after hexavalent vaccination: another pathology in suspected SIDS? [Syndrome de mort subite du nourrisson peu de temps après vaccin hexavalent : Autre pathologie dans les présumés SMSN ?] Virchows Archiv 2006; 448: 100–104.




Traduction copyleft de Pétrus Lombard

dimanche 15 juillet 2012

Les gens vont commencer à se reproduire par une nouvelle méthode


Des mutations nuisibles s'accumulent aujourd'hui chez l'homme moderne dans une progression géométrique qui conduit à la dégénérescence. Le professeur américain bien connu de l'Institut de génétique comportementale Michael Reimers, qui a récemment visité Moscou avec une série de conférences, croit que pour survivre nous devons changer le mode de reproduction.

Il fonde tout espoir en génie génétique. Actuellement, cela peut entraîner une résistance, mais dans 10-20 ans, nous aurons pas d'autre choix. Nous allons devoir reproduire à travers l'éprouvette. Théoriquement, des enfants futurs seront en bonne santé et intelligents. Reimers a reconnu qu'il y a seulement un risque grave : comme des gènes définis seront sûrement reconnus idéals, l'humanité pourrait rapidement devenir presque identique.

samedi 14 juillet 2012

Le saviez-vous ?

Le plus ancien calendrier dont on ait conservé une trace écrite complète est le calendrier égyptien qui remonte à 2600 av. J-C mais qui était déjà très ancien en ce temps-là et remonte probablement à 4500 av. J-C . Il comprenait 12 mois de trente jours plus cinq jours "épagomènes". Il y avait trois saisons : Akhet, Peret et Chemou, correspondant à quatre mois chacune ( Inondation, reflux et récolte ) . Le début de l'année coïncidait donc avec la crue du Nil, et le lever de l'étoile Sirius vers le 15 juillet ( le "Petit chien" = canicule ). mais comme ce calendrier à base solaire ne comptait pas d'années bissextiles, il fallait un correctif compliqué tous les 1461 ans ( année sothiaque ) ! Cependant il est probable que le calendrier mésopotamien utilisé à Sumer et Babylone depuis 3300 av. J-C au moins, qui est notre Zodiaque d'aujourd'hui, avec ses mois lunaires, est plus ancien encore car le décalage entre le calendrier zodiacal et le calendrier astronomique actuel indiquerait un décalage de 36 000 ans !

La générosité dépend de la quantité de matière grise dans le cerveau



Les scientifiques de l'Université de Zurich ont découvert que la tendance à l'altruisme est déterminée par la quantité de la matière grise, dans le cerveau.


Les experts ont mené une expérience, lors de laquelle on proposait aux personnes de partager une somme d'argent avec une personne inconnue, qui a besoin d'argent. L'expérience a montré que ceux qui avaient plus de matière grise, dans la partie du cerveau entre le lobe pariétal et les lobes temporaux, partageaient l'argent beaucoup plus volontiers que ceux qui avaient moins de matière grise. Par ailleurs, les chercheurs ont établi que chez les «grippe-sous», l'activité de la partie du cerveau derrière l'oreille s'intensifie, surtout, s'il s'agit de grosses sommes d'argent.

Découverte d'un cinquième lune autour de Pluton


IRIB- Des astronomes de la NASA ont découvert, mercredi, une cinquième lune gravitant autour de la planète naine Pluton. C'est le télescope spatial Hubble qui a permis de révéler ce nouvel objet celeste en orbite, qui vient s'ajouter aux quatre autres déjà observées : Charon, Hydra, Nix et P4. "Les lunes forment des séries d'orbites parfaitement imbriquées, un peu comme des poupées russes", a commenté sur le site de la Nasa Mark Showalter, chef de l'équipe d'astronomes du SETI Institute de Mountain View, en Californie, à l'origine de la découverte.

Et de cinq! Le nombre de lunes gravitant autour de pluton ne cesse d'évoluer en fonction des avancées technologiques en matière d'optique spatiale. La dernière en date, baptisée P5 comporte une forme irrégulière, d'une longueur comprise entre 10 et 25 kilomètres. Le diamètre de l'orbite circulaire sur laquelle tourne P5 serait proche de 95.000 kilomètres. Cette nouvelle découverte fournit des indices supplémentaires sur la formation et l'évolution du système de Pluton. La théorie privilégiée serait que ces lunes seraient des résidus d'une collision entre Pluton et un autre objet de la ceinture de Kuiper (dans laquelle elle se trouve), plusieurs milliards d'années plus tôt.

Étudier l'ensemble du système de Pluton


La révélation de ce cinquième satellite pourrait aider les scientifiques du projet de la NASA New Horizons à piloter leur sonde spatiale à travers le système plutonien, d'après son communiqué. Ce projet vise à accomplir, en 2015, un vol historique à haute vitesse pour étudier la planète naine Pluton et son satellite Charon. Les astronomes utiliseront la puissante vision du télescope Hubble pour dégager la voie à la sonde spatiale à travers la complexité du système plutonien. En se déplaçant à la vitesse de 50.000 kilomètres heure vers la planète naine, New Horizons pourrait être détruite par des débris orbitaux.

"La découverte de tant de petites lunes nous indique indirectement qu'il pourrait y avoir de nombreux corps qui nous demeurent invisibles dans le système de Pluton", a confirmé Harold Weaver, physicien à la Johns Hopkins University. La plus grande lune de Pluton, Charon, a été découverte, en 1978, par des chercheurs de l'Observatoire Naval des États-Unis. Grâce à Hubble, deux lunes plus petites ont été observées par la suite, en 2006, Nix et Hydra. Enfin, en 2011, la quatrième lune, P4, s'est dévoilée aux yeux des astronomes.

Les ancêtres des Amérindiens, au prisme de la génétique


IRIB- Ceux qui peuplaient le Nouveau Monde, quand l'Occident l'a découvert, ceux que l'on appelle, aujourd'hui, les natives, ou indigènes, du continent Nord et Sud américain, seraient les descendants de trois vagues humaines successives venues de Sibérie, selon une étude génétique internationale, publiée, dans la revue "Nature" du 12 juillet.

L'hypothèse dominante pour expliquer le peuplement du continent américain est en effet l'arrivée de populations venues par le détroit de Béring à une période où un pont continental permettait de passer à pied sec de l'Asie à l'Amérique (le dernier 'pont' se situant entre -30.000 et -15.000 ans). La nouvelle étude menée sur 52 populations amérindiennes et 17 groupes sibériens, comparant plus de 360.000 marqueurs génétiques, confirme ce scénario. Allant plus loin, Andrés Ruiz-Linares (University College London, GB) et ses collègues concluent que les arrivants sont venus en trois groupes. Un modèle proposé, dans les années 80, mais sujet à controverse.

Deux vagues de plus, au Nord du continent La première vague de migration, il y a environ 15.000 ans, a laissé sa signature génétique dans la très grande majorité des populations amérindiennes, du Nord du Canada au Sud de l'Argentine, des Algonquins du Québec, aux Mayas du Guatemala, jusqu'aux Yaghans de Terre de Feu, expliquent les chercheurs dans leur article. «Deux autres vagues de migration ont contribué au peuplement du nord de l'Amérique», précise Stéphane Mazières, du Laboratoire Anthropologie bio-culturelle (CNRS/Aix Marseille Université/EFS), qui a participé à cette étude. Elles ont contribué au peuplement de l'Alaska et du Canada (peuples Eskimo-Aléoutes et Chipewyans). « Les données génétiques révèlent aussi qu'il y a eu un cas de remontée de certaines populations de la Colombie vers l'Amérique centrale, ce qui explique le patrimoine génétique particulier des Chibchan du Panama » ajoute Stéphane Mazières. Au nord du continent, les deux dernières vagues se sont mélangées avec la première, souvent appelée celle des «First Americans». Cependant, s'agissait-il vraiment des premiers Américains ?

Que sont devenus les Paléoaméricains?


Là où la génétique ne permet pas de remonter au-delà de 15.000 à 20.000 ans, l'archéologie offre des preuves d'une occupation humaine beaucoup plus ancienne, en particulier au sud. En attestent les outils de Pedra Furada, au Brésil, vieux de 30.000 ans, les empreintes de pas humains dans la cendre volcanique du Cerro Toluquilla, au Mexique, âgées de 38.000 ans, etc.. Une autre hypothèse émerge de ces fouilles : l'installation de Paléoaméricains, qui pourraient être apparentés aux Austro-Mélanésiens, qui auraient été remplacés par les ancêtres des actuels natives (Lire "Au berceau d'Homo americanus", dans le magazine "Sciences et Avenir", avril 2007).

vendredi 13 juillet 2012

Un agent de la CIA affirme qu'un OVNI s'est écrasé sur terre


Un ancien agent de la CIA affirme qu'un OVNI s'est bien écrasé sur terre à Roswell, il y a 65 ans. Il s'appelle Chase Brandon et a travaillé pour la CIA pendant 35 longues années. Cet homme relance aujourd'hui la théorie du complot quant au supposé OVNI qui se serait écrasé à Roswell, au Nouveau-Mexique en 1947.

L'affaire avait fait grand bruit le 4 juillet 1947. Il y a près de 65 ans jour pour jour, un objet non identifié s'était écrasé à Roswell, une ville tranquille de 50.000 habitants située au Nouveau-Mexique aux Etats-Unis. Selon de nombreux témoins, il s'agissait d'un vaisseau extra-terrestre et le gouvernement faisait tout pour cacher l'événement au peuple en affirmant qu'il ne s'agissait que d'un ballon Mogul. Une vidéo de la prétendue autopsie d'un alien réalisée par des scientifiques qui travaillaient pour le gouvernement américain avait été diffusée en 1993. Depuis, la ville attire chaque année de nombreux curieux.

Et les propos de Chase Brandon ne risquent pas de calmer l'engouement des fans des petits êtres venus d'ailleurs pour la ville de Roswell. En effet, selon cet ancien agent de la CIA, il serait tombé sur des documents top secrets à l'époque où il travaillait pour le gouvernement. "Une boîte a attiré mon attention. Il y avait un mot écrit dessus: Roswell", explique-t-il en indiquant n'en avoir pas cru ses yeux en ouvrant la fameuse boîte. "Ce n'était pas un ballon météo", affirme-t-il. "C'était un vaisseau qui venait d'une autre planète". L'ancien agent n'en dira pas plus si ce n'est qu'il a vu des photos et des documents qui ne sèment plus le doute sur le sujet. "Je n'en dirai jamais plus à personne", confie-t-il.

jeudi 12 juillet 2012

Le serpent le plus rare du monde re-découvert


Un rapport d'experts atteste qu'il ne resterait plus que 18 serpents de l'espèce Liophis ornatus. Cette petite couleuvre, la plus rare au monde, survit sur un petit îlot, non loin de Sainte-Lucie, dans les Antilles. Un havre de paix, loin de sa plus grande menace : la mangouste.

"Après trente ans de recherches, quel soulagement de pouvoir confirmer qu'une espèce survit encore !", s'émeut à la BBC Matthew Morton, responsable du programme est-caribéen de l'association Durrell Wildlife Conservation Trust.

Selon les scientifiques, il resterait dans le monde moins de 18 individus de l'espèce Liophis ornatus, le "Saint Lucia racer" ou couresse de Sainte-Lucie. Les derniers spécimens de ce petit serpent (sa taille adulte ne dépasse pas un mètre), non venimeux, survivent sur un petit îlot de 12 hectares proche des côtes de Sainte-Lucie, dans les Antilles. Selon les experts, ce membre de la famille des couleuvres serait le serpent le plus rare au monde. 

L’état-major iranien se prépare à la guerre ultime


La mise en place des dispositifs militaires offensifs de l’OTAN autour de la Syrie, la mobilisation russe et la multiplication des opérations clandestines de plusieurs pays au Proche et Moyen-Orient ont convaincu les iraniens de l’imminence d’une guerre de “fin du monde”.

D’après des informations, l’état-major des armées iraniennes et des gardiens de la révolution sont maintenant quasiment sûrs d’une confrontation armée majeure avec Israël, les Etats-Unis et l’OTAN devant intervenir en concomitance avec un assaut général contre la Syrie ou après la chute de Damas.

Ces deux dernières semaines, l’armée de la république islamique d’Iran est en train de diffuser et de distribuer à tous les soldats et officiers des brochures intitulées “les six derniers mois” dans lesquelles les autorités appellent l’ensemble des iraniens à se préparer à une guerre mondiale cataclysmique et d’espérer l’arrivée de l’Imam Mahdi (Le Messie), dans une référence directe à l’eschatologie musulmane.

Tout récemment, l’ayatollah Ali Khamenei a appelé les iraniens pour la première fois à se préparer à la guerre et la fin du monde. en exhortant les fidèles à attendre l’arrivée de l’Imam Mahdi.

L’état-major iranien a instruit l’ensemble des officiers supérieurs des forces armées et des milices de dispositions à prendre en vue de ce conflit dans lequel toutes les armes possibles et imaginables seront utilisés, notamment des armes nucléaires tactiques, des mini-bombes atomiques, des armes chimiques, bactériologiques, des virus, des rayonnements ionisants, des rayons à haute énergie, des bombes à micro-ondes et des bombes à neutrons.

Pour leur part, les dirigeants de l’armée syrienne s’attendent à tout moment à une invasion doublée d’une tentative de débarquement amphibie. Les récentes manœuvres militaires effectuées par les forces armées syriennes ont inclus des scénarii de guerre sur plusieurs fronts avec Israël, la Turquie et la Jordanie. La façade maritime syro-libanaise préoccupe au plus haut point les stratèges syriens, a fortiori depuis la multiplication de sous-marins non identifiés. Dans tous les cas de figure, les généraux syriens fidèles au régime semblent obsédés de se battre contre Israël. “Ne serait-ce qu’une journée, peut-être une heure et même si le monde entier nous envahit, l’important est de montrer que jusqu’au bout, on a combattu Israël qui demeure le principal problème” a affirmé un colonel syrien à la retraite.

Concernant le Liban, l’armée syrienne a fait savoir que ses unités n’auront aucun autre choix que d’intervenir dans les localités frontalières desquelles s’est retirée l’armé libanaise pour y chasser les éléments de l’armée syrienne libre (opposition armée). De son côté, le Hezbollah libanais est en alerte maximale depuis des mois face à ce qu’il appelle la guerre israélienne contre la Syrie. Le Hezbollah a réorganisé l’ensemble de ses structures de renseignement et préparé plusieurs plans en vue de contrer une offensive israélienne et atlantique contre le Liban et la Syrie. Ces plans prévoient le tir de plusieurs milliers de roquettes et de missiles sur des cibles bien en profondeur en Israël avec une focalisation sur les installations nucléaires et les bases aériennes israéliennes.

La situation dans l’ensemble de la région semble de plus en plus aléatoire: l’Arabie Saoudite, poids lourd de la géopolitique mondiale, minée par des rivalités internes, semble condamnée à moyen-terme. L’Egypte est dans la tourmente. Le Soudan se désagrège. Les sources du Nil sont en train de focaliser l’intérêt de l’AFRICOM et d’Israël. En mer Égée, la population de la Grèce vit un véritable drame du fait de la crise financière internationale-drame occulté par l’ensemble des médias internationaux- tandis que la Turquie, qui jouit encore des faveurs des financiers internationaux, remplit son rôle traditionnel de subalterne de l’OTAN contre la Syrie et l’Iran.

Les Etats-Unis, la Grande Bretagne, la France, l’Allemagne, Israël et la Turquie travaillent depuis des mois sur des plans militaires assez avancées pour intervenir en Syrie. Les israéliens sont entièrement mobilisés et se considèrent actuellement en état de guerre totale. Pour Tel-Aviv, cette guerre sera la dernière à l’issue de laquelle se décidera la survie ou non de Sion au delà de l’année fatidique 2048, soit le centième anniversaire de la création de l’Etat d’Israël. Des milliers de marines US sont actuellement en Israël pour assister ce pays à faire face à un possible embrasement de la région. Dans ce cas là, l’insistance de certains pays à prendre le chemin de Damas peut s’avérer le chemin le plus court pour aller vers l’enfer.