mercredi 18 juillet 2012

Les vaccins sont la seule cause plausible du syndrome de mort subite du nourrisson

Gaia Health Blog, Heidi Stevenson, 15 juillet 2012

Il semble y avoir peu d'études sur le phénomène de mort subite du nourrisson, en dépit du fait que c'est la première cause de la mortalité des bébés nés en bonne santé ! Serait-ce parce qu'il est provoqué par les vaccins ?

Dans l'étude documentant les plus hauts taux de mortalité infantile chez les plus vaccinés (1), les auteurs ont aussi étudié le Syndrome de Mort Subite du Nourrisson (SMSN). Il s'agit d'une nouvelle classe de décès pour les bébés qui meurent sans raison connue. Elle fut introduite en 1973.

Il semble y avoir peu d'études sur ce syndrome, en dépit du fait qu’il est la première cause de décès entre 1 à 12 mois !

Tel que le déclarent les auteurs de l’étude, Neil Z. Miller et Gary S. Goldman :
Avant les programmes de vaccination modernes, la « mort au berceau » était si rare qu'elle n’était pas mentionnée dans les statistiques de mortalité infantile. En Zunie, pour la première fois dans l'histoire, la plupart des nourrissons durent encaisser plusieurs vaccins : DTC (diphtérie + tétanos + coqueluche), polio, rougeole, oreillons et rubéole. Peu de temps après, en 1969, les certificateurs médicaux introduisirent une nouvelle expression médicale : Mort subite du nourrisson. En 1973, le National Center for Health Statistics ajouta une nouvelle classe de cause de décès – pour le SMSN – à l’ICD (International Statistical Classification of Diseases and Related Health Problems). Le SMSN est défini comme la mort soudaine et inattendue d'un nourrisson, qui demeure inexpliquée après enquête approfondie.

En d'autres termes, des bébés meurent et personne ne sait pourquoi, du moins, officiellement. Pourtant, l'étude de Miller et Goldman fournit des données solides qui indiquent que ce syndrome est une conséquence des vaccinations.

Tentative de cacher le syndrome de mort subite du nourrisson

Les auteurs discutent de la façon dont les gouvernements ont réagi. Le SMSN fut initialement attribué aux bébés qui dorment sur le ventre – pourtant, la raison pour laquelle cela provoqua tout à coup un arrêt respiratoire chez les bébés, alors que ce ne fut jamais un problème dans le passé, n'a jamais été étudiée. Cela parut diminuer de 8,6% le Syndrome de Mort Subite du Nourrisson (SMSN), mais s’accompagna d’une augmentation de 11,2% du Syndrome de Mort Subite Inexpliquée du Nourrisson (SMSIN). Les auteurs citent plusieurs études montrant que, bien que moins de SMSN furent enregistrés, la recrudescence d'autres décès inexpliqués de jeunes enfants n’entraîna pas de différence significative dans la mortalité inexpliquée des jeunes enfants. Ils déclarent :
Dans la période toute récente de 1999 à 2001, une vérification plus minutieuse révèle que, en Zunie, le taux de SMSN post-néonatal a continué de baisser, mais qu’il n'y a eu aucun changement significatif dans le taux total de mortalité post-néonatale. Pendant cette période, le nombre de décès attribués à des « étouffements dans le lit » et à « des causes inconnues » a augmenté de manière significative.

En d'autres termes, toute diminution apparente du SMSN est le fait d’une supercherie.

Principales causes de mort subite du nourrisson

En Zunie, le SMSN est officiellement la troisième cause de mortalité infantile. Toutefois, en éliminant les causes liées aux anomalies congénitales et au poids insuffisant à la naissance, il devient la première cause de mortalité infantile !

Les plus récentes données sur les taux de mortalité ont été publiées en 2008 (2) par les Centers for Disease Control (CDC). Elles indiquent 28.075 décès de nourrissons au total. 2350 sont décrits comme des SMSN, soit 8,4% du nombre total de décès de nourrissons.

Selon les données des études de Miller et Goldman, en 2001, le taux rapporté de la mortalité due au SMSN était de 50,9 sur 100.000, mais en le rajustant pour les cas qui étaient précédemment identifiés comme des SMSN, ce taux était de 75,4 sur 100.000. Si nous supposons alors que le taux réel de la mort du SMSN est de 48% plus élevé, le nombre réel de morts du SMSN se monte à 3478, soit 12,4% du nombre total de décès de nourrissons.

La réalité est probablement encore pire. Les auteurs notent qu'il existe plusieurs autres catégories pouvant inclure les morts du SMSN, notamment les « maladies virales non spécifiés », les maladies du sang, la septicémie, les maladies du système nerveux, les lésions cérébrales anoxiques, les autres maladies du système nerveux, les maladies du système respiratoire, la grippe et les maladies non spécifiées du système respiratoire. »

Lien du SMSN aux vaccins

Ce qui est à l’origine du SMSN ne parvient généralement pas à être examiné d'une manière sérieuse. Insinuer que c’est parce que les bébés dorment sur le visage est ridicule, superficiel. Quand des parents font dormir leur bébé sur le ventre, son visage est tourné sur le côté. Par conséquent, pour avoir la possibilité de s'étouffer, les bébés doivent d'abord être capable de tourner assez la tête pour se retrouver visage vers le bas, dans le matelas et les couvertures. Il n'est absolument pas raisonnable de penser que le bébé capable de faire cela ne puisse pas réagir si sa respiration est gênée. Si un bébé s’étouffe en position couchée sur le ventre, alors il est arrivé quelque chose qui empêche le bébé de réagir. De toute évidence, il est ridicule de suggérer que le problème réside dans le fait de placer incorrectement les bébés sur le ventre pour dormir !

Dans ces conditions, quelle est la cause vraiment logique de la mort subite ? Miller et Goldman citent des études ayant étudié le vaccin DTC (diphtérie-tétanos-coqueluche) et des vaccins multiples, qui attestent d’une forte probabilité mettant en cause les vaccins.

Ils citent l'étude de Torch, qui montre que : 6,5% des SMSN surviennent dans les 12 heures suivant la vaccination DTC.
6,5% meurent dans les 12 à 24 heures ; soit un total de 13% dans les 24 heures.
13% meurent dans les 24 heures à 3 jours ; soit un total de 26% dans les 3 jours.
15% meurent dans les 3 jours à 1 semaine ; soit un total de 37% dans la semaine.
24% meurent dans la 2ème semaine ; soit un total de 61% dans les 2 semaines.
9% meurent entre la 2ème et la 3ème semaine ; soit un total de 70% dans les 3 semaines.

Cette étude note en outre que la plupart des bébés exempts du vaccin DTC sont victimes du SMSN pendant les mois d'hiver. Mais, la plupart des vaccinés victimes du SMSN sont associés à 2 et 4 doses mensuelles de DTC. L'étude de Torch (3) rapporte que le DTC :
peut être une cause majeure, généralement non reconnue, de mort subite du nourrisson et de la petite enfance, et les risques de la vaccination peuvent prévaloir sur ses avantages possibles. Cette étude montre la nécessité de réévaluer et de modifier éventuellement les protocoles de vaccination actuels.

Une étude réalisée par Walker et autres (4) a découvert : le taux de mortalité du SMSN dans la période de zéro à trois jours suivant le vaccin DTC est 7,3 fois plus élevé que pendant la période commençant 30 jours après la vaccination.

Une étude réalisée par Fine et Chen (5) constate que le taux de mortalité des bébés est presque 8 fois plus grand dans les 3 premiers jours suivant la vaccination DTC.

Ottaviani et autres (6) ont étudié la mort d'un bébé de 3 mois qui a succombé subitement après une vaccination 6-en-1. Ils ont clairement attribué la mort du bébé au vaccin hexavalent :
L’examen du tronc cérébral sur des coupes sériées a révélé une hypoplasie bilatérale du noyau arqué. Le système de conduction cardiaque présentait une dispersion fœtale persistante et une dégénérescence résorptive. Ce cas donne un aperçu unique sur le rôle possible du vaccin hexavalent dans le déclenchement d’une issue fatale chez un bébé vulnérable.

La mort vaccinale

L’unique chose paraissant avoir un lien crédible avec le SMSN est la vaccination. Nous disposons en ce moment de preuves évidentes associant le DTC et les autres vaccins multivalents au SMSN, et un fort lien causal est également indiqué.

En dépit d’un énorme battage médiatique prétendant que les vaccins sauvent des vies, il est évident qu’il repose en majorité sur de fausses certitudes. La plupart des maladies infantiles avaient déjà décliné au point d'être rares ou anodines avant la mises en œuvre à grande échelle des vaccinations. Il est de loin plus crédible de créditer la meilleure nutrition, les réseaux d’eau potable et sanitaire (égouts) du déclin de la mortalité infantile. Ainsi, même s'il est vrai que des vaccins sauvent des vies, les vaccinations sont de loin moins importantes que la propagande en leur faveur.

De toute évidence, tous les avantages des vaccins doivent être mis en balance avec les torts évidents qu'ils font.

Le SMSN représente 12,4% de la totalité des décès de nourrissons. Nous disposons de preuves solides montrant que le SMSN est dû aux vaccins. Ainsi, 12,4% de la totalité des décès de nourrissons se montrent dus aux vaccins. Cela n'inclut pas les autres dommages faits par les vaccins, notamment l'autisme, qui détruit la vie de millions d'enfants partout dans le monde et entraîne d'énormes coûts pour la société. Une chose qui commence seulement à être reconnue, car beaucoup de ces enfants parviennent à l'âge adulte sans avoir la capacité de s’intégrer à la société.

L’actualité regorge désormais d’histoires de méfaits de Big Pharma. Ses tromperies et manipulations sont stupéfiantes, et l’odeur de sa corruption est intenable dans les services de santé publique.

Nous avons vu que la principale étude étayant l’absence de lien entre autisme et vaccins, l'étude Thorsen (7), baignait dans la corruption (8). Il est tout simplement inconcevable que la recherche étayant l'innocuité vaccinale ou son efficacité soit crédible. Associée à Big Pharma, la pseudo-science, parodie de la vraie recherche scientifique, caractérise la majorité de ce qui passe pour du savoir.

Tant que nous ne verrons pas d’étude honnête sur la sécurité des vaccins – individuels et en combinaisons multivalentes, et sur l'impact du programme entier avec chaque vaccin supplémentaire – tout parent qui accepte de faire vacciner ses enfants joue avec leur vie. Si ce système médical ne corrompait pas autant, on considérerait qu’il met les enfants en danger, et ça entraînerait des peines de prison.

Sources 



Torch WC. Diphtheria-pertussis-tetanus (DPT) immuniza-tion: a potential cause of the sudden infant death syndrome (SIDS) [Vaccination diphtérie-tétanos-coqueluche : Cause possible du syndrome de mort subite du nourrisson]. American Academy of Neurology, 34ème séance annuelle, 25 avril–1er mai 1982. Neurology 32(4): pt. 2

Walker AM, Jick H, Perera DR, Thompson RS, and Knauss TA. Diphtheria-tetanus-pertussis immuniza-tion and sudden infant death syndrome [Vaccination diphtérie-tétanos-coqueluche et syndrome de mort subite du nourrisson]. Am J Public Health 1987; 77: 945–951.

Fine PE and Chen RT. Confounding in studies of adverse reactions to vaccines [Confusion dans les études sur les réactions indésirables aux vaccins]. Am J Epidemiol 1992; 136: 121–135

Ottaviani G, Lavezze AM, and Matturri L. Sudden infant death syndrome (SIDS) shortly after hexavalent vaccination: another pathology in suspected SIDS? [Syndrome de mort subite du nourrisson peu de temps après vaccin hexavalent : Autre pathologie dans les présumés SMSN ?] Virchows Archiv 2006; 448: 100–104.




Traduction copyleft de Pétrus Lombard

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